| | (M/ LIBRE) MICHAEL FASSBENDER | |
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Chloe Shepherd L’INFINITÉ DES MOTS
› MESSAGES : 31 › INSCRIPTION : 27/10/2012 › AVATAR : Lea Seydoux › CREDITS : .lollipops › PSEUDO : Prongs (Lilou)
THEIR LOVE REMAINS TRUE ~ › CELLULAIRE:
| Sujet: (M/ LIBRE) MICHAEL FASSBENDER Dim 28 Oct - 22:06 | |
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› au choix (clyde lawrens pour la rédaction)+ PRÉNOM : AU CHOIX (CLYDE POUR LA RÉDACTION). + NOM DE FAMILLE : AU CHOIX (LAWRENS POUR LA RÉDACTION). + ÂGE : ENTRE 27 A 31 ANS. + DATE ET LIEU DE NAISSANCE : ATLANTA. + NATIONALITÉ ET ORIGINES: AMÉRICAIN (ORIGINES : ANGLO-ITALIENNES). + ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : MILITAIRE. + SITUATION FINANCIÈRE : PLUS QU’AISÉE. + STATUT CIVIL : CÉLIBATAIRE (ENCHAÎNE LES COUPS).. + NOMBRE D'ENFANTS : AUCUN. + SIGNE ASTROLOGIQUE : AU CHOIX.
› over to you now + Clyde a toujours rêvé d'être comédien (rêve dont il cache) mais son père était formel : Il deviendrait militaire. Le plus beau métier du monde. Et c'est ce qu'il est devenu. (Je le vois bien avoir un grade, pas forcément un grade important) + Il joue de son charme, de son argent. Mais c'est seulement pour pas souffrir. C'est-à-dire qu'on lui a toujours ordonné d'être comme ci ou comme ça, alors, s'il se met à être vraiment lui-même : Il a peur de déplaire. + Il est très familial, sa mère et sa sœur sont chères à ses yeux. + Il n'est pas très bon à l'école. Peut-être en langues un peu. + Il a voyagé à travers plusieurs pays (souvent des pays pauvres), et il revient en Georgie très comblé et surtout instruit. Ce voyage la rendu un peu plus 'humain'. + Par ailleurs, si un jour il a un enfant, c'est qu'il l'a adopté. + Joue du piano + Fume énormément, mais ne boit pas spécialement.
› trouble for me I find myself walking back to all the places we knew dreaming and wishing to somehow run into you LOU DOUILLON, I.C.U (2003 - ATLANTA) « Bidou ? » commence-t-il, un brin heureux. Heureux de la revoir ou de savoir qu'elle ne se doute de rien ? Clyde fronce les sourcils. Pas de réponse. Elle qui, habituellement, rien qu'à entendre la porte s'ouvrir s'élance vers lui, il n'est rien de tel. « Bidou.. ? » crie-t-il devenant quelque peu inquiet. Bien sûr qu'elle est là. Il sent sa présence, son odeur. Mais peut-être n'est-ce qu'illusoire. L'adolescent poursuit sa traversée en direction de la chambre de la blonde. Et si elle n'était pas là ? Si elle ne voulait plus de lui. Non. Du grand n'importe quoi. Il pousse alors la porte et le tableau est plus que surprenant. Celle-ci est assise, un coussin dans les mains, sur son lit, en train de pleurer toute l'eau qu'il lui reste. Clyde s'élance, ne comprenant pas l'état de Chloe, vers elle, la prenant dans ses bras. Mais elle le repousse. « Chloe.. T'as quoi ? » Elle lève la tête, incrédule, la bouche entre-ouverte. « Y'a que tout le monde sait - hormis moi - que tu sautes cette conne de Daisy. Ah et aussi Lou, Kate, Leven et j'en passe ! » Elle est au courant. Il serre la mâchoire, ne sachant guère répondre. Que dire de toute évidence. « Pourquoi ? » demande-t-elle, en pleurant encore. On pourrait même croire que jamais elle ne s'arrêterait. « J'en sais rien Chloe ! Pt'être parce que j'en ai rien à foutre de toi ! » S'énerve-t-il, presque contre lui-même en se levant. Besoin de fumer, tout de suite. « T'avais pas besoin d'avoir une copine pour baiser d'autres nanas ! » C'était fort vrai. Mais c'est-à-dire que Clyde ne comprenait pas non plus ses actes. Tout au fond de lui, il ne vibrait que pour elle, voulait la rendre heureuse, mais il avait besoin de savoir qu'elle n'était qu'à lui, que Chloe pourrait tout faire pour lui. Quitte à accepter les déboires de l'homme qui fut son premier amour. « Tagueule Chloe. Tu savais très bien ce que je faisais, je te retenais pas. » Elle balance son coussin - préféré - en direction du garçon, mais elle loupe sa prise de peu. Pathétique. Et il se met à rire. A rire jaune en fait. « Je te déteste Clyde ! » La gorge du footballeur se noue et il réplique. « Non c'est faux. » « Si je te déteste. » Répond-t-elle en essayant d'y croire elle-même. « Non.. Bidou.. » Était-il en train de la perdre ? Non, il ne pouvait s'y résoudre. « Je peux pas arrêter ça. Je peux pas stopper mes sentiments comme ça. Mais je dois te détester.. Je.. » Elle se mord la lèvre, baisse les yeux. « J'suis désolé. » avoue l'homme à l'égard de la blonde, mais c'est perdu d'avance. « Dégages.. »
- EXTRAIT DE MA FICHE :
(IL Y A QUELQUES JOURS - ATLANTA)Y’a des noms, des mots dans la vie qui vous ramènent à des lieux, un temps où vous étiez bien, où vous étiez heureux. « Bidou ? » Tu entends quelqu’un parler derrière toi. Mais tu continues ta route, appuyant sur le bouton de l’ascenseur. Cette voix continue pourtant de résonner. Et ça t’énerve déjà. « Shepherd. » En fait, tu ne veux pas te retourner. Tu sais très bien qui c’est et tu n’as aucunement envie de passer, ne serait-ce que quelques minutes en sa compagnie. Tu souffles et fais mine de toujours rien entendre. « Fais pas comme si tu me reconnaissais pas. » continu-t-il. Tu lèves la tête à ta gauche, il est juste à côté de toi. Toujours avec son petit rictus hautain aux coins des lèvres, ses dents parfaitement blanches et le timbre de voix légèrement rauque, mais sensuel. « C’est-à-dire que je suis surprise que tu me reconnaisses. » Il se met à rire. Tu souffles une seconde fois, car ce rire, tu le connais par cœur et tu sais très bien qu’il va balancer une réplique de macho. « T’es la seule à avoir ce cul bizarre. Tu sais, une fesse un peu plus bombée que l’autre. » En même temps qu’il te répond, il se met à observer sans aucune indiscrétion tes fesses que tu détestes plus que tout au monde. « Arrêtes. Mes fesses sont très biens. » Tu rougies un peu. T’essayes de te résonner. Tu es très belle. Ton cul est magnifique. Et lui, ce n’est qu’un foutu con. « On a jamais eu les mêmes goûts.. » Balance-t-il avec une moue maussade. Et alors que les portes de l’ascenseur s’ouvrent, il rentre à l’intérieur, avec toi. Tu fronces les sourcils. Merde. Alors tu te colles contre le mur, lui faisant croire que ce qu’il dit te touches pas. Mais ça te touches, du plus profond de ton cœur. Et tu te traites de tous les noms les plus grossiers qui puissent exister. Croire que Clyde avait changé est une pure idiotie. Croire qu’il pouvait t’aimer : le comble. Mais il revient à la charge, comme s’il n’avait pas été rassasié. Non, il faut encore qu’il en rajoute une couche. Te faisant face, il place ses bras juste au dessus de tes épaules. Le truc que font les bad boys pour prouver leur petit pouvoir à deux sous. « Je parie que tu es mariée, que t’as trois gosses : Francis, Marianne et Pierre. » Étonnée qu’il se souvienne de ces détails, tu ne peux t’empêcher de te sentir mal à l’aise quand même. Tu n’es pas mère de famille, et ton petit-ami se fait de plus en plus anonyme. « En tout cas, toi c’est clair que t’es pas devenu comédien. » Être comédien était le rêve de Clyde. Lorsqu’en primaire il avait décroché le premier rôle, il avait été l’homme le plus heureux du monde. Bien qu’il ait un don pour ce métier, son père l’avait toujours rappelé à l’ordre. C’était un emploi pourri. Clyde deviendrait plus tard militaire, et bien mieux encore. Il hausse un sourcil et demandes. « Tu t’en souviens ? » Tu serres un peu la gorge. Bien sûr que tu t’en souviens. « Je me rappelle de tout te concernant. N’étais-je pas ta petite Chloe qui te rendait soi-disant amoureux ? » Il se colle encore plus à toi. Ta respiration devient erratique et tu manques de tomber. « Ces jours me manquent.. » Vos lèvres se frôlent. Merde de chez merde. « Je suis mariée Clyde. » Tu dis en y croyant toi-même. « Alors où est ta bague ? » Ton ventre se noue. Tu vas exploser. Comment a-t-il pu voir ce détail ? Tu te mords la lèvre mais tu ne te laisses pas abattre et lui lances, la voix pleine d’émotion. « Tu m’as fais souffrir. » Tu remarques qu’il reste sérieux, et ça te perturbes encore plus. « Oh.. Tu me ferais presque pleurer. » Serrant les dents, tu frappes son torse avec tes faibles forces. Ridicule puisque tu viens de te faire mal. « T’es qu’un connard Lawrens. » Et tu pars, les larmes aux yeux. Ils ne se sont plus revus, peut-être se sont-ils croisés dans la rue - mais étaient-ce vraiment eux ? - mais jamais parlé. Clyde a commencé sa formation de militaire pendant que Chloe s'acharnait pour se payer ses études. Même s'ils ont pris des chemins différents, ont eu de nombreuses relations leurs sentiments restent inchangés et Chloe reste toujours autant en colère contre lui. (Clyde ne c'est pas pour autant rendu compte de quelconque sentiment envers elle, bien que cela lui est fait un mal de chien de la perdre, point, rien de plus. Je vois bien la relation évoluée plus comme un jeu que tout autre chose, mais ça reste à voir avec la personne qui prendra le personnage)
Dernière édition par Chloe Shepherd le Lun 29 Oct - 10:43, édité 3 fois | |
| | | Chloe Shepherd L’INFINITÉ DES MOTS
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| Sujet: Re: (M/ LIBRE) MICHAEL FASSBENDER Dim 28 Oct - 22:11 | |
| Scénario libre (et bien sûr, plus que très attendu) Tout d'abord, je vous remercie pour la quelconque attention que vous avez porté au scénario Je vais vous épargnez le blabla inutile du genre que le scénario est très important pour mon personnage, etc.. Pour venir directement à mes quelques conditions, avertissements et possibilités (mh.. respect j'ai mis longtemps à trouver ces mots, donc ça va ). Il faut savoir que Clyde est le premier amour de Chloe et réciproquement. Clyde est un, sans vraiment le vouloir, pur con. Mais c'est un gars quand même assez perdu, en manque de stabilité (son père aurait pu se remarier plusieurs fois par exemple) et qui par conséquent n'a pas eu les meilleurs exemples. Bwef. Pour la suite du lien, c'est à voir avec la personne qui prendra le scénario mais comme dit plus haut, je verrais bien qu'un jeu s'installerait entre eux. Pas spécialement du chat et de la sourie et ses dérivés, mais plutôt du genre "je te connais et j'en joue". Chloe encore très en colère contre lui pourrait adopter le même comportement que Clyde, du coup, on ne partirait pas forcément vers un lien 'amoureux' (mais là aussi c'est à voir avec la personne qui prendra Clyde). Sinon.. Hm. Michael est bien sûr négociable, non que je l'ai mis au pif mais c'est que je n'avais pas forcément beaucoup d'idées et que sur le coup, il correspondait plutôt à l'image que je me fais du gugus. (uc) | |
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