Ne craint rien car rien n’est jamais perdu.. ou pas ...

FROM http://sloansanatomy.tumblr.com/
› Ezechiel Parkins

› he about to lose me

Tu es amoureux en ce moment ? Ah l’amour ! Non je ne suis pas amoureux en ce moment et je ne pense pas à l’être dans l’immédiat. La souffrance est bien assez présente dans ma vie pour en rajouter je ne suis pas maso enfin pas totalement. Disons que l’amour ma donner la plus belle chose au monde, ma fille mais l’amour me l’a aussi repris dans un divorce. Donc non vraiment pas amoureux en ce moment. Y a quoi dans ton sac à main/tes poches ? J’ai un très joli sac à main d’une grande marque et je le montre à toutes mes copines ! Non sérieusement j’ai toujours été étonné le nombre de choses que pouvait mettre une fille dans son sac à main, moi mes poches me suffisent. J’ai mon téléphone portable, mon biper accrocher à ma ceinture quand je suis de garde et mon portefeuille et j’oubliai mes clefs. Rien d’extravagant ni de surprenant. Que représente le mariage pour toi ? Le mariage, il représente une grande somme d’argent surtout quand tu épouses une femme qui n’aime pas vraiment les robes de mariages classiques et les repas qui vont avec. Oh et il représente une grande somme d’argent encore plus pendant le divorce parce qu’elle part avec la moitié du fruit de votre travail et quelle obtient la garde de votre enfant et la pension alimentaire qui va avec. J’ai de l’argent je m’en plains pas mais, ma fille n’a pas de prix et elle est loin maintenant. Enfin bref le mariage est une marque d’engagement autant juridique que morale mais, je pense que je ne ferais pas la même erreur deux fois. Comment imagines tu l'homme ou la femme de ta vie ? Tout l’inverse de mon ex-femme, après l’amour ne se commande pas je n’ai pas de type de femme particulière et il n’y a personne d’idéal pour moi. Je suis loin d’être parfait alors je ne vais pas demander à une femme de l’être pour moi. Et puis depuis mon divorce je n’imagine plus rien… J'aime : J’aime ma fille, mon métier, ma moto, boire un verre après le travail, courir chaque matin et tellement de choses insignifiantes que la liste serait trop longue. J'aime pas : Mon ex-femme * ah ah *, les chats, les cons, la justice parfois, l’acharnement thérapeutique. Là encore la liste est trop longue vue le monde dans lequel nous vivons. Comment trouves-tu Austen Valley ? J’aime beaucoup cette ville, je n’ai jamais été voir ailleurs. J’y vis depuis ma naissance et je pense que je ne partirai jamais d’ici. J’aime la tranquillité des petits coins de nature et notre chère ville qui s’anime en ville.

› seal it with a kiss

› over to you now

Une vie faite de péripétie, d’embuches et surtout de combat, enfin pour ma part. La vie n’a pas jamais été facile mais je pense que ça a fait de moi quelqu’un de bien enfin j’essaye de l’être au mieux. Des efforts oui dans la vie chacun de nous doit faire des efforts, des concessions et des sacrifices parfois. J’ai eu l’impression parfois de ne pas être à ma place, comme si le monde n’était pas pour moi mais, j’ai toujours eu le sentiment d’être utile pour quelqu’un pour au moins une ou plusieurs personnes à chaque moment de mon existence. L’amour ! Ah l’amour, ce sentiment qu’on a plus ou moins ressentie dans notre vie, l’amour d’une mère... L’amour d’une petite amie. L’amour rime-t-il avec souffrance ? Peine ? Croire au grand amour qui dure pour toujours c’est si masochiste à mon gout. L’amour ne dure pas toute une vie, l’amour partira pour quelqu’un de mieux ou pour un coup d’une nuit.

Mes parents… L’histoire débute ici.

Mon père est né dans notre charmante ville, d'un père irlandais et d'une mère française. Il eut une enfance heureuse, jusqu'à l'âge de 8 ans à peu près. C'est l'âge auquel on lui diagnostiqua l'hypermnésie dont il souffre. Le petit avait montré de grande capacité à l'école et ses professeurs demandèrent à ses parents de lui faire voir un médecin pour des tests de quotient intellectuel. Non. Papa n'était pas surdoué. En vérité, il souffrait d'une maladie dont le principal symptôme est une mémoire infaillible. Il se souvenait de tout ce qu'il voyait, lisait, entendait... Rien ne lui échapperait jamais. D'où ses grandes facilités à l'école. Mais voilà, très vite les médecins alertèrent ses parents. Ce n'était pas tout rose, loin de là. Le garçon bientôt, détesterait cette maladie, et ses proches avec. En effet, un revers de la médaille subsiste dans cette grande capacité d'apprentissage et de mémorisation. Car une mémoire qui ne sait plus se débarrasser des informations superflues est une mémoire qui sature. Il retenait jusqu'à la couleur des chaussures de sa voisine de devant il y a 4 ans en cours de français. Il se souvenait de ce qu'il avait mangé l'année passée le même jour... Sa mémoire incapable de faire le tri lui provoqua très vite des maux de tête effroyable et le besoin de s'isoler fut fulgurent. Les gens eux-mêmes le rendait fou à parler de choses inutiles, car lui ne pourrait jamais les oublier. Il eut de fort accès de colère également, la douleur le rendant irritable. Ce qui l'excède ? Lorsque quelqu'un oubli de faire quelque chose... Lorsque sa mère oubliait qu'il déteste les épinards... Lorsque son père oubliait qu'il avait baseball... Sa mère débordée, se mettait à pleurer tandis que son père préférait le battre. Lors de son adolescence, il commença à fuguer le soir, lorsque son père voulait l'empêcher de sortir. Puis avec le temps, et à force d'expérience il finit par se ranger à l'avis de son paternel et s'enferma de lui-même, s'isolant du monde le plus possible.
Il fit ses études en littérature à Miami et fut un garçon discret bien qu'il redécouvre peu à peu la vie jusqu'à devenir professeur à l'université. Il tient également une librairie dans le centre-ville. Papa et maman se sont connu durant leurs études, à la fac, d'une façon peu commune. Papa était sur le point de se battre avec un autre lorsqu'elle est venu pour tenter de l'en empêcher. En conséquence, c'est elle qu'il a, sans le vouloir, frapper d'un coup de coude en arrière. Il était en pleine crise à cause de sa maladie et elle sut le faire revenir à lui. Ils se sont ensuite vu plusieurs fois et une relation est née. Mais la maladie de mon père le rendait insupportable et après moultes disputes, la jeune femme le quitta. Leur dernière dispute avait pour sujet l'enfant que la jeune femme portait. Elle accoucherait dans 9 mois, d'un petit portant son sang. Le garçon s'emporta, ne voulant pas de cet enfant, ne voulant pas qu'un petit être de plus vive ce que lui avait vécu et vivrait à vie. Le petit avait toutes les chances d'avoir en héritage génétique, sa maladie et il ne supportait pas cette idée. Il fut odieux et Lexie le quitta. Mais neuf mois plus tard elle était de retour avec moi, je n’avais pas la maladie de mon père mais maman était trop jeune pour m’assumer et me laisser donc à mon père. Dire que vivre sans mère n’est pas douloureux serait totalement faux mais, il faut vivre avec c’est comme ça.

Des moments de mon existence..

- Anna Opbuns ?! l’ai-je interpelé, les sourcils froncés par une demi-surprise.
En effet, on connaissait la jeune fille pour avoir un penchant marqué pour la drogue et l’alcool. Pour toute réponse, elle leva son visage sur moi pour me lancer un regard noir. Le moins qu’on puisse dire, c’est que nous ne nous entendions pas très bien. Nous n’avions pas l’occasion de nous fréquenter souvent puisque nous suivions des études complètements opposées, mais nous nous croisions souvent en soirée. Je ne connaissais rien de sa vie, et je ne voulais pas la connaitre d’ailleurs, mais elle avait la fâcheuse tendance à finir les soirées complètement déchirée. Nous étions surement trop différents. Je me demandais comment elle pouvait se mettre si mal devant tout ces gens. N’avait-elle donc pas d’amour propre ? Je dois reconnaitre que moi aussi, je ne ressors pas souvent d’une soirée clean, mais je veille à ne pas aller trop loin. Question d’honneur. Seuls mes amis les plus proches peuvent se vanter de m’avoir déjà vu dans des états vraiment pitoyables. A notre dernière rencontre en date, nous nous étions même un peu accrochées. Pour une histoire stupide, mais comme nous n’étions plus très frais ni l’un ni l’autre, c’est vite parti en noms d’oiseaux. Bref, nous ne nous apprécions vraiment pas.
Mais là, je me trouvais quand même dans une situation délicate. Anna n’était vraiment pas en état, et s’il lui arrivait quelque chose, ça serait de ma faute, pour n’avoir rien fait. On ne sait pas quels pervers peuvent trainer dans les villes à notre époque ! J’aurais voulu la ramener chez elle. Ca aurait été le plus simple. Mais je n’avais aucune idée de là où elle habitait, et je ne pouvais à l’évidence pas la laisser pourrir ici.
- Qu’est-ce qu’on va faire de toi ? ai-je pensé à haute voix en m’accroupissant devant elle.
- Laisse-moi Ezechiel, a-t-elle répliqué en marmonnant.
- Allez, viens.
J’ai passé un bras dans son dos pour la faire se lever. Elle n’était visiblement pas d’accord, et ne me facilitait pas la tâche. Elle marmonnait des choses incompréhensibles. Une fois debout, elle pesait de tout son poids sur moi. A croire qu’elle le faisait exprès. Je l’ai donc ramenée, à grande peine, chez moi et oui à l’époque je n’étais pas aussi musclé que maintenant.
Bien qu’elle n’aurait pas voulu me suivre, elle n’était pas vraiment en état de résister. Elle était là, étalée dans mon canapé en cuir (et j’espérais au fond de moi qu’elle ne vomisse pas dessus). J’ai soupiré en l’observant. Etant étudiant en médecine je la guettais d’un air inquiet. On à beaucoup discutés ce soir là et elle n’est plus jamais repartit de chez-moi. J’étais tomber amoureux d’elle, follement amoureux oui. Quelques temps après il y a eu la naissance à notre fille Lily-Rose. Ma fille, ma bataille. Puis 9 ans après il y a eu ce coup de théâtre, Anna est partit avec un jeunot de 24 ans emportant ma fille pendant le divorce loin de moi. J’ai beaucoup souffert du divorce mais, surtout du manque de mon enfant. Notre maison était si vide maintenant. Je me suis spécialisé dans l’urgence et me suis consacré totalement à mon travail.
---
Une simple étreinte n'allait pas changer tant d’années d'absence. Je ne pouvais pas m'excuser comme ça, ça serait totalement débile. Je lui en devais certes, mais ça ne changerait rien. J'avais encore du mal à croire qu'elle était de retour à la maison à présent. Était-ce un rêve qui n'allait pas tarder à se finir ? Si c'était le cas, je voudrais qu'il dur encore plus longtemps. Et si vraiment c'était un rêve, en me réveillant, je prendrais aussitôt le téléphone pour lui parler. Voilà que je lui faisais déjà la promesse que tout ira mieux, alors que je n'ai même pas été capable de tenir celle que je lui ai fait quand elle avait neuf ans qui disait " je te promets de ne jamais te laisser quoi qu'il arrive " je ne l'avais pas tenu et aujourd'hui je m'en voulais. Sans vraiment le dire à quiconque, Ma fille me manquait, combien de fois j'ai pensé à elle, combien de fois je m'en suis voulu. Mais elle était là, aujourd'hui, en face de moi. Elle avait aujourd’hui 16 ans, elle avait décidé de revenir vivre chez moi pour mon plus grand bonheur. Je me retrouve avec une adolescente et ce n’est pas évident tous les jours mais on essaye de rattraper le temps perdu. C’est un tout pour moi, c’est ma motivation dans la vie, on est devenus très proche de nouveau et j’essaye d’être le plus présent pour elle. " je t'aime ma fille "Je voudrais que le temps s’arrête et qu'elle arrête de grandir, le temps passe si vite.

+ PSEUDO/PRÉNOM : Sauver ou perir. + ÂGE : Ah ah . + RÉGION : 66 . + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? : Sur Bazzart. + AVATAR : Eric Dane. + COMMENTAIRES : La déco est sublime je sens que je vais me plaire ici.