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| Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre | |
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+6Romy Pierce-Larsson Olivia Jones Jules Lanning Niels Colleman Juliet Hawkes Clara Storm 10 participants | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mar 23 Oct - 23:03 | |
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BY fyandrewcooper FROM TUMBLR › Carter, Wexson+ PRÉNOM : Carter + NOM DE FAMILLE : Wexson + ÂGE : 28 ans + DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 27 août 1984, Austen Valley + NATIONALITÉ ET ORIGINES: Américain de pure souche. + ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : Son travail officiel consiste dans le rôle de vendeur-magasinier dans une animalerie. Néanmoins, il a déjà publié un recueil de nouvelles et travaille actuellement sur l'élaboration d'un roman. Il réalise également des courts métrages de fiction et divers petits documentaires et autres reportages + SITUATION FINANCIÈRE : Moyenne. + STATUT CIVIL : Célibataire. + NOMBRE D'ENFANTS : Aucun, bien qu'il souhaiterait avoir un ou deux enfants idéalement. + TRAITS DE CARACTÈRE : Drôle, timide, cultivé, imaginatif, manque d'assurance, secret, taquin, optimiste, perspicace, rêveur, romantique, rancunier, réfléchi. + SIGNE ASTROLOGIQUE : Vierge.
› he about to lose me Tu es amoureux en ce moment ? Oui, totalement sous le charme de ce regard que je croise presque tous les jours et de cette voix qui me fait vibrer de l'intérieur à chaque mot qu'elle puisse prononcer. Y a quoi dans ton sac à main/tes poches ? Un étui métallique pour mes cigarettes, deux briquets, un trousseau de clé, mon téléphone portable, mon portefeuille et quelques pièces de monnaies également. Que représente le mariage pour toi ? Un symbole d'amour merveilleux mais peut-être pas réellement indispensable pour réussir et concrétiser une vie de couple sur le long terme. Comment imagines tu l'homme ou la femme de ta vie ? Et si je vous disais que je l'ai déjà rencontré ? J'aime : La cigarette, les milkshakes, les promenades nocturnes en solitaire, mon chien husky, les animaux dans leur ensemble, les sorties entre amis, aller au cinéma, écrire, réaliser des vidéos, croire en l'impossible, donner un sens à l'ensemble de mes rêves, la sensation de liberté pourtant si difficile à trouver, la solitude autant que l'interaction sociale, le thé, les bons restaurants et les snacks. J'aime pas : Les personnes et les discours trop terre à terre, les histoires de religions et de politiques, tout ce qui concerne le monde de la finance, le café, les fourbes et les manipulateurs, les marques d'irrespects, les injustices, recevoir des ordres de qui que ce soit, exposer mes tords et mes faiblesses, avoir la sensation que quelque chose est réellement impossible, considérer que je puisse être condamné dans mon existence. Comment trouves-tu Austen Valley ? Austen est ma ville natale, celle où j'ai grandi, où j'ai fais mes premières armes et où je construis actuellement mon existence petit à petit. Comme partout, il y a du bon et du mauvais car, de un, rien n'est parfait et, de deux... Si la vie ici se voulait réellement parfaite, on s'y ennuierait à mourir... Néanmoins, est-ce ici que je suis destiné à vivre pour toutes les années qu'il me reste encore ? Je n'en sais rien... C'est mon chez moi, ma 'grande' maison en quelque sorte. Et je pense que, quoiqu'il arrive, je ne pourrai jamais m'en détacher d'une manière ou d'une autre... › seal it with a kiss Voici le test de psychologie. Celui ci est très important, puisque c'est grâce à celui-ci, que nous pourrons déterminer ton groupe. Mettre en gras les bonnes réponses. (une seule réponse par question). + En voyage, quelle ville choisirais-tu ? a) Amsterdam (Pays-Bas). b) Juneau (Alaska). c) Paris (France). d) Dublin (Irlande).
+ Au lit, quelle est ta position préférée ? a) La levrette. b) Le cache-cache. c) Le missionnaire. d) Le cavalier à la barre.
+ Dans un mariage, qu'est ce que tu aimes le plus ? a) Les cochonneries en douce. b) Le buffet. c) La cérémonie. d) La fin.
+ Quelle est la soirée idéale pour toi ? a) En boite de nuit. b) Devant l'ordinateur. c) Un repas aux chandelles. d) Une soirée entre amis.
+ C'est quoi ton animal préféré ? a) Le lapin. b) Le loup. c) L'oiseau. d) Le panda. | + Qu'as tu envie de boire ? a) Champagne. b) Bière. c) Vin rouge. d) Tequila.
+ Quelle chanson mettrais-tu dans ton Ipod ? a) I kissed a girl (Katy Perry). b) Someone i used to know (Gautier). c) Seal it with a kiss (Britney Spears). d) We are never getting back together (Taylor Swift).
+ Quelle est ta couleur préférée ? a) Le rouge. b) Le violet. c) Le bleu. d) Le vert.
+ Soirée dvds, quel film tu choisis ? a) Friends With Benefits (Will Gluck). b) Vertigo (Alfred Hitchcock). c) The Notebook (Nick Cassavettes). d) Ghost (Jerry Zucker).
+ L'amour c'est quoi ? a) Un jeu. b) Un inconnu. c) Un indispensable. d) Un assassin. |
› over to you now L’amour d’une famille
J’ai toujours envié ces familles composées d’un père, d’une mère et d’une quiryelle de frères et sœurs. On dit toujours que ceux qui sont fils et fille unique sont enviés et qu’ils ont de la chance d’être les seuls et uniques aux yeux de leurs parents. Sauf qu’un enfant unique n’est pas spécialement heureusement pour autant ! L’absence de proche, de personnes du même sang auprès de lui le renferme déjà dans une certaine forme de cloisonnement, de renfermement et de solitude. Rajouter à cela l’absence totale d’un père préférant la boisson à son fils. Préférant les excès en tout genre à l’amour que pouvait lui porter celle partageant sa vie. Le tout se concluant dans un accident de voiture durant l’une de ses sorties éthyliques : la mort d’un innocent, l’emprisonnement du père et la libération de ce dernier avant qu’ils ne partent dieu sait où pour ne jamais revenir et ne jamais reprendre contact. Cette famille sensée se tenir sur ses deux pieds se retrouvent déjà tronquée et boiteuse et, ce, même si j’ai toujours pu compter sur l’amour inconditionnel de ma mère et sur sa force de caractère pour parvenir à m’élever et à me faire grandir dans une réalité très difficile. Des problèmes liés à son emploi, des fins de mois plus que rudes sans compter les nombreuses semaines de privation en tout genre… Pourtant, je ne m’en plains et n’oserais jamais le faire car, grandir de la sorte vous apporte le plus important, le plus essentiel : la capacité de comprendre réellement ce qu’est l’amour, ce que représentent des valeurs humaines et, d’avantage, l’inutilité du superflu même si ce dernier peut vous apporter un tant soit peu de plaisir et de contentement de temps à autres. Difficile fut cette époque, cette enfance ? Oui, je le reconnais… Mais, mis à part la présence d’un père, je n’y changerai absolument rien et, ce, même pour tout l’or du monde !
L’attachement des amis
Plus jeune, j’étais loin d’être le garçon le plus populaire de l’école. Prématuré, voyant le jour à sept mois et demi au lieu des neufs mois de grossesse traditionnel, je souffrais d’un strabisme fortement prononcé qui donnait un côté aussi pathétique que ridicule à l’ensemble de mon visage… Et cela n’était nullement aidé par les deux culs de bouteille faisant office de lunettes que j’étais condamné à trimballer jours après jour ! Cette petite caractéristique était liée à deux autres raisons de simples rejets au sein de la cruauté enfantine : une tendance à être le premier de la classe conjuguée à une nette prépondérance à l’embonpoint. Il n’en faut pas plus pour attiser dés lors les regards moqueurs et les blagues cruelles de vos petits camarades de classe. Un comportement ‘normal’ me direz-vous, d’autant plus durant l’enfance mais qui dés son apparition, provoqua cette sensation de crainte, de peur et de méfiance qui m’amenèrent tout doucement à ce manque perpétuel de confiance en moi que je peux encore ressentir aujourd’hui. Le manque de confiance qui n’est que la peur d’agir, de prendre des initiatives ou des faire des choix ayant de grandes répercussions sur un large publique. La peur d’être soi-même de peur que l’on se moque et que vous en soyez naturellement touché par la suite. Voilà comment, en même temps que cette absence de confiance se dresse une carapace, se forge un bouclier que vous ne finissez par ne jamais abaisser, quoiqu’il arrive, quoiqu’il se passe. Vous vous persuadez de ne prendre ce risque qu’une fois que vous rencontrerez une personne vous semblant de réelles confiances… Ces personnes ? Tant se veulent-elles rares qu’elles se qualifient comme les véritables amis que l’on peut espérer un jour trouver sur son chemin. Des amis que vous rencontrez par un simple biais du hasard, comme ce meilleur ami allant dans la même école que vous mais avec lequel vous ne commencez à parler qu’à l’âge de quinze ans, alors qu’il vient d’emménager juste en face de chez vous. Cet ami qui est à vos côtés depuis vos premiers pas au lycée et avec qui vous avez noué un noyau dur et solide. Ou encore cet ami que vous rencontrez par le biais d’une conversation traitant d’idées et de projets réussissant à vous intéresser. Sans compter cette véritable sœur de cœur de cette fille arrivant dans votre lycée l’année juste avant votre terminale. Leur rencontre est fortuite, une forme de chance ou bien un brillant coup de maître de la part du Destin mais qu’importe l’’origine. Ce qui demeure important, c’est que votre carapace de solitude s’entrouvre partiellement pour eux et que vous prenez le risque de leur faire confiance. Des personnes avec lesquelles vous avez le soulagement de pouvoir vous ouvrir et d’être tout simplement naturel. Des personnes vous appréciant pour ce que vous êtes, sans pour autant totalement effacer ce manque de confiance qui règne en vous, mais près desquelles il n’y aura jamais de faux semblants, de tricheries ou de mensonges. Confidences pour confidences, c’est eux que l’on aimera toujours à travers tout ! Dés lors qu’importent les petits différents ou les quelques disputes pouvant survenir. Ne jamais les perdre est ce qui compte le plus…
Les prémisses de la passion
La vie sentimentale est très certainement un aspect on ne peut plus important pour moi. Je n’ai toujours eu de cesse de vouloir la combler tel que je le pouvais et, ce, avec énormément d’échecs et de difficultés malheureusement. Je n’ai pas eu la chance de connaître des histoires d’amour d’adolescents, ces instants de magie et de découverte où l’on découvre la saveur d’un premier baiser, où l’on se perd dans l’échange interminable de messages et où on fraude face à toutes les autorités scolaires et parentales pour simplement ressentir le plaisir, le frisson et l’épanouissement d’être auprès de la personne faisant chavirer tant notre esprit que notre cœur. Ma timidité se mêlait avec la difficulté à trouver les bons mots pour aborder une fille. Je ne savais jamais comment faire, je me perdais toujours dans des réflexions et des complications totalement inutile en me disant qu’être ‘traditionnel’ dans ma manière d’aborder ne me rendrait que plus ringard et inintéressant. De ce fait, je ne témoignais que d’avantage de maladresse lorsque je tentais de me jeter à l’eau et ne collectionnait qu’une longue liste d’échec jusqu’à ce que, finalement, la vie semble me sourire un minimum à l’aube de mes dix-huit ans. Nous nous étions rencontrés sur un tchat. Elle vivait à l’autre bout du pays et, pourtant, nous avons accroché directement tous les deux. Simplicité, compréhension, naturel, honnêtes et avides. Voilà comment se définissaient chacun de nos échanges. J’avais envie d’y croire mais le craignais en même temps car, j’avais cette étrange sensation de tomber réellement amoureux pour la première fois et d’enfin en ressentir une véritable réciprocité. D’ailleurs, c’est de par sa conviction à elle et l’envie d’aller jusqu’au bout que je capitulai sous son insistance et acceptai de prendre ce risque. Le résultat ? Neuf mois de relation relativement particulière mais néanmoins très aimante. Une relation, nouvelle certes, que je découvrais à peine et que je croyais déjà incapable à surmonter en termes d’intensité ! Mais je compris rapidement que cette considération n’était qu’une profonde erreur de ma part et, que ma première petite amie, n’était que le prémisse à d’autres relations encore plus intense ! La plupart des filles que je rencontrai par la suite étaient généralement des personnes que je rencontrais via internet. Par ce canal, je me sentais totalement à l’aise avec l’usage des mots que j’aimais déjà maîtrisé depuis mon adolescence. Pas de timidité, pas de maladresse mais bien un contrôle et une forme de mainmise. Un peu comme si j’avais perpétuellement toutes les cartes en main et que j’en décidais pleinement moi-même l’issue. Pour le coup, cela me semblait tellement plus facile, tellement plus agréable… Mais il me manquait toutefois les sensations des premiers jours et des premières conversations avant que tout ne se mette en place ! Le virtuel est utile mais il vous gâche les premières rencontres qui fondent la base même d’une relation tout aussi intense que magique… Jusqu’au jour où ma meilleure amie me présenta l’une de ses amies d’études. Dés le premier regard, je suis littéralement tombé sous son charme. Elle était si charmante, si mignonne, si belle et tellement envoutante. Je la découvrais tel un marin tombant nez à nez pour la première fois avec une sirène ! Je succombais, sans même voir le danger et le retour de vague que pourrait avoir cette rencontre. J’étais alors sans armes, sans défenses, profitant de toutes ces richesses d’une rencontre que je n’avais jamais connu, la laissant devenir la première de biens des petits aspects présents dans une relation or mis le sexe. Et je me brûlais à sa chaleur irradiante avant qu’elle ne finisse par rompre d’un coup d’un seul, sans explication, jetant à la poubelle l’intensité des trois mois passés ensemble jour après jour. Un peu à l’image d’un long rêve qui finit par se terminer et vous laisse vous réveiller dans une réalité cauchemardesque, purement et simplement…
L'appréciation dans le travail
Nullement le premier dans ce cas, je me suis lancé dans la tentative d’études universitaires juste après ma terminale. L’appréciation que j’avais de tous les récits policiers et autres trames juridiques m’avaient poussé dans l’idée d’entamer des études de droit. Une décision que je trouvais alors judicieuse mais qui me fit rapidement déchanter ! Je tentai à deux reprises de réussir cette première année d’université pour finalement n’en ressortir qu’avec d’avantage d’échecs et de désillusions. Je dois même admettre que c’était la première fois que je prenais de tels risques pour que cela se termine par un échec. Un échec me faisant toutefois du bien, me coupant littéralement avec cette perpétuelle image d’intello de service qui, finalement, était aussi normal que n’importe qui dans un sens. Suite à cela, je décidai de viser moins loin en visant une formation en haute école pour devenir instituteur… Curieux de choix de la part de quelqu’un qui se sent toujours mal à l’aise dés qu’il doit prendre la parole en public ! Et pourtant, c’est avec brio et distinction que je terminai ce cursus scolaire avec la ferme intention, à vingt-trois ans, de me lancer enfin dans la vie active ! Mais ça, c’était sur le papier car, en pratique, c’était une toute autre paire de manches ! Devant la difficulté de trouver un travail dans ma branche, je demeurai pratiquement deux ans sans travailler. Je mettais mes journées à profit pour travailler sur différentes nouvelles et pour me lancer dans la réalisation avec mon petit groupe d’amis. Deux années rudes financièrement mais durant lesquelles je pouvais m’estimer être heureux de pouvoir réellement vivre ! Vivre sans me soucier de mes soucis financiers, ni même de ma détresse sentimentale ou de la solitude caractérisée s’imposant à moi sans même que je ne cherche à l’embraser. Puis, un beau matin, je décrochai un contract dans un magasin où je travaillais par le passé en tant qu’étudiant. Un premier boulot à court terme qui me permet de faire de nouvelles rencontres, de me faire de nouveaux contacts et de finalement entrer comme vendeur dans cette animalerie au sein de laquelle je travaille depuis deux ans environ maintenant. Loin d’être le travail de mes rêves, c’est tout de même via cette place que j’ai pu commencer à me projeter dans l’avenir, à investir enfin dans une voiture, dans un appart’ et, ainsi, prendre enfin les rennes de ma vie en main comme il se devait ! Puis, au final, ce boulot qui me semblait rébarbatif est aujourd'hui quelque chose que j'aime faire, que je ne déprécie nullement. Autant dire que je n'y ai pas totalement perdu au change en fin de compte...
Les séparations d'aujourd'hui
Avec le temps, on se construit son petit monde, ce que l’on considère comme un noyau dur tout autour de soi. Tous vos proches ne deviennent qu’en leur façon un membre de cette grande famille, non pas qui nous est imposée, mais bien celle en parallèle que l’on se construit. On croit, ou en tout cas on espère, que cela ne changera pas, qu’il n’y aura jamais de départ. On se raccroche à nos certitudes de la manière dont je l’ai fait pour que tout finisse un beau jour par s’effriter, et s’enchainer dans des cascades diaboliquement douloureuse ! Ce qui est étrange, c’est que la douleur de ces départs résonnent souvent avec ce qui a créé ces attaches : l’Amour. L’amour sous toutes ses formes, qu’il soit amical, familial ou intime. Les années passes et les couples se créées. Vos amis commencent à se caser les uns après les autres, à emménager ensemble et s’enfermer dans leur petit cocon. Les sorties deviennent plus rares, la place du meilleur ami est délaissé au profit de celui de la compagne. Et, bien que je puisse le comprendre, vous en devenez témoin alors que les relations mêmes se basent sur de mauvaises fondations : un de vos meilleur ami se retrouve avec une femme autoritaire ne cessant de le rabaisser et de le considérer comme un moins que rien. L’autre tombe totalement fou amoureux d’une créature dangereuse, reine de la manipulation, se chargeant de l’éloigner un à un de tous ses amis. Sans compter que vous avez toujours celui que vous envier, qui vit une passion digne d’une romance de fiction ou de cinéma ne voyant dès lors plus que son couple et plus rien autour. Vous vous attachés avant de redevenir seul, tout seul, perdu dans l’égarement de la mortification de votre vie sentimentale et le désert peu à peu grandissant de votre vie amicale. Puis, voilà que le Destin se charge de vous porter le dernier coup de grâce. Des années à traverser les difficultés, des années à devoir grandir parfois trop vite pour gérer une mère aimante mais dépressive. Des années d’affection se mêlant à l’inquiétude avant que le dernier souffle ne retentisse. Votre seule véritable famille ferme les yeux et vous abandonne en ce bas monde. Une partie de votre être s’envole et disparait entièrement avec. Ainsi regardez-vous la vie, ainsi regardez-vous vos craintes, ainsi accusez-vous le coup en vous jurant de vivre en la mémoire de cette personne ayant tout fait pour vous. Abandonner l’idée des contraintes et essayer de s’affranchir de nos gênes pour aller de l’avant… La solitude n’est pas une fatalité, la solitude fait avancer et grandir !
Les impossibles de demain
Aujourd’hui, je pourrais dire que je ne vis pas réellement pour mon travail. Même si j’aime ce que je fais, ledit travail n’est avant tout qu’une source de revenus alimentaire afin que je puisse m’épanouir dans mes différents intérêts et autres passions. J’ai pris le courage de publier mon recueil de nouvelles plus ou moins bien reçu et, ce, même si dans cette logique de manque de confiance personnel, je me concentre avant tout sur les faiblesses de cet ouvrage. Ceci dit, cela ne me bloque pas, ou ne me bloque plus. J’ai décidé de me lancer pleinement dans l’écriture d’un nouvel ouvrage beaucoup plus intime et beaucoup plus concret. M’apportera-t-il cette forme de consécration que je recherche avant tout pour le sentiment de reconnaissance que je recherche constamment ? Une question que je n’ai pas réellement envie de me poser ! J’ai hésité, faire le premier pas a été difficile mais je me suis pris également suffisamment en main pour m’essayer à de premières réalisations relativement appréciées pour leurs parts. En tout cas, assez pour que je commence à avoir des petits contrats par ci par là pour des tournages et d’autres réalisations de documentaires que je me plais réellement à faire, un peu comme une chose que je désirais faire depuis toujours et que je découvre en même temps jour après jour. Des petits riens qui représentent de la construction, de l’évolution et de l’avancée dans une vie ayant trop longtemps stagné. Oui, je continue de voir certains amis, je commence tout doucement à en rencontrer de nouveau et à côtoyer de nouvelles têtes. Je demeure un romantique esseulé, vivant dans le vide de son appartement avec Soan, mon chien Husky de 10 mois. Mais je ne m’en plains pas, non… Je ne m’en plains pas car je remarque ce besoin de solitude et d’indépendance dans la gestion de mon quotidien. Et puis, surtout, j’ai croisé ce regard, j’ai fait la rencontre de ce sourire qui m’a tout aussi bouleversé que transcendé. Une chaleur dans tout mon être qui s’éveille chaque fois que je croise cette nouvelle libraire. Une libraire que j’aimerais avoir l’occasion de connaître, de côtoyer et plus si affinités. Je sais que je suis réellement tombé sous son charme… Tout comme je sais qu’elle vient d’emménager avec celui qui lui sert de moitié. Pourtant, en moi, le rêveur sent une certitude brûler en lui. La certitude que la chance est de mon côté… Mais, vois-je juste ou bien suis-je en train de me perdre dans de futiles espérances ? Seul l’avenir pourra nous le dire désormais…
+ PSEUDO/PRÉNOM : Anar + ÂGE : 26 ans + RÉGION : Belgique + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? : via PRD. + AVATAR : Andrew Cooper + COMMENTAIRES : J'ai pas pu résister à votre petit bébé (a)
Dernière édition par Carter Wexson le Mer 24 Oct - 18:29, édité 5 fois |
| | | Clara Storm + LOOK FOR THE GIRL WITH THE BROKEN SMILE
› MESSAGES : 178 › INSCRIPTION : 23/10/2012 › AVATAR : katie cassidy. › CREDITS : avatar @rabbit belly ; sign @encours › PSEUDO : tylers ~ blandine
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mar 23 Oct - 23:11 | |
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| | | Juliet Hawkes + HE ABOUT TO LOSE ME
› MESSAGES : 1432 › INSCRIPTION : 01/10/2012 › AVATAR : Sophia Bush. › CREDITS : Avatar & Sign @goldcrest+tumblr. › PSEUDO : Speechless/Pauline.
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| | | | Niels Colleman
› MESSAGES : 129 › INSCRIPTION : 23/10/2012 › AVATAR : andrew garfield. › CREDITS : angel dust. › PSEUDO : dark dreams.
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 5:30 | |
| ANDREW ça fait genre une éternité que je ne l'ai pas vu sur un rpg bienvenue sur le forum | |
| | | Jules Lanning
› MESSAGES : 499 › INSCRIPTION : 02/10/2012 › AVATAR : rachel cute bilson › CREDITS : (c) riddle › PSEUDO : sterne (clémentine)
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 6:38 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 7:13 | |
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| | | Olivia Jones
› MESSAGES : 94 › INSCRIPTION : 23/10/2012 › AVATAR : teresa palmer › CREDITS : psychozee › PSEUDO : fever
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 7:14 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Romy Pierce-Larsson ∞ A DROP IN THE OCEAN.
› MESSAGES : 511 › INSCRIPTION : 03/10/2012 › AVATAR : Rachel McAdams › CREDITS : ©Laora › PSEUDO : Lady Berry (Caroline)
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 7:56 | |
| Bienvenue ^^ Andrew | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 8:26 | |
| Rachel Quand je dis qu'il n'y a que du beau monde ici (aa) Merci toi La seconde moitié de mon histoire arrivera ce soir |
| | | Théo Lanning + I'M NEVER CHANGING WHO I AM.
› MESSAGES : 326 › INSCRIPTION : 23/10/2012 › AVATAR : dylan o'brien › CREDITS : astoria (avatar) + tumblr (signature) › PSEUDO : goldcrest.
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 8:52 | |
| Bienvenue. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 8:55 | |
| Merci, merci, merci |
| | | Maxxie Lanning
› MESSAGES : 43 › INSCRIPTION : 23/10/2012 › AVATAR : Emmy Rossum › CREDITS : dsfsd › PSEUDO : Cami'
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 11:38 | |
| Andrew vraiment trop rare sur le forum, très bon choix il est tellement Wouahhh canon ^^ Bienvenue | |
| | | Silley Odair + I DON'T NEED YOU
› MESSAGES : 674 › INSCRIPTION : 12/10/2012 › AVATAR : Dianna Agron › CREDITS : Goldcrest.+tumblr › PSEUDO : Cough Syrup./Marion
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 16:14 | |
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| | | July Montgomery ₪ DON'T WORRY, BE HAPPY
› MESSAGES : 562 › INSCRIPTION : 23/10/2012 › AVATAR : elizabeth olsen › CREDITS : (avatar) angel dust (signa) tumblr › PSEUDO : mocking.berry
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 18:30 | |
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| | | Jules Lanning
› MESSAGES : 499 › INSCRIPTION : 02/10/2012 › AVATAR : rachel cute bilson › CREDITS : (c) riddle › PSEUDO : sterne (clémentine)
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre Mer 24 Oct - 18:45 | |
| je valide et tu rejoins le groupe i'm a legend | |
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| Sujet: Re: Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre | |
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| | | | Carter - Quand on a rien, on a rien à perdre | |
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