( rocsane ) + i'm gonna rock this world. (délai jusqu'à lundi)

BY crystalroden FROM tumblr
› rocsane kathyn magdalena, weaver

› he about to lose me

Tu es amoureux en ce moment ? amoureuse ? c'est pas tellement le mot, disons simplement que des sentiments se baladent ici et là. c'est plutôt compliqué.Y a quoi dans ton sac à main/tes poches ? la caverne d'ali-baba, non sérieusement le strict nécessaire pas le minimum hein, le strict nécessaire à la survie de Weaver. Que représente le mariage pour toi ? une promesse à ne pas briser. Comment imagines tu l'homme ou la femme de ta vie ? un homme qui sache l'aimer pour ce qu'elle est vraiment, elle aurait très bien pu dire le prince charmant, mais dans les contes, le prince se tire toujours avec la mauvaise princesse. J'aime : la natation, les chiens, les biscuits apéritif, le chocolat, courir, dormir, ses cheveux, son père. J'aime pas : être seule, perdre du temps, les boysdand, être fatiguée, la moutarde, les brocolis, les cheerleaders, les films d'horreur, les avions.Comment trouves-tu Austen Valley ? son chez-elle. sa maison. un endroit où elle se sent vraiment attachée.

› seal it with a kiss

+ PSEUDO/PRÉNOM : kassandra / mads + ÂGE : 19 ans. + RÉGION : une île en france. + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? : bazzart + AVATAR : holland sexy roden + COMMENTAIRES : .

› over to you now

gif par hollaroden.tumblr.

R O C S A N E - W E A V E R ;

tout ce qu'il faut savoir sur la personne qu'est rocsane weaver, tout ce que vous trouverez ici est important, ou pas, pour comprendre cette fille au cheveux de feu ; rocsane magdalena kathyn weaver est son pseudonyme complet mais elle répond plus sous son prénom, rocsane ou bien rocsy. + elle est seulement âgée de vingt et un an et cela lui suffit amplement ayant une peur de vieillir et de ne pas avoir vécut assez + elle est plus proche que son père que de sa mère + elle est née à New-York mais elle n'y a vécut que les six premières années après que son père ait décidé d'aller habiter dans la ville natale de sa mère ; elle vécut à new-york pendant six ans, dans le texas pendant quatre ans et et ce n'est qu'à l'âge de dix ans, qu'elle posa finalement ses valises dans la belle ville d'Austen Valley en Georgie + elle n'eut pas de mal à s'habituer à sa nouvelle vie bien que dans son enfance elle a toujours eut l'image du vilain petit canard, la fille effacée + sa couleur de cheveux est une force a présent pour elle mais ça n'a pas toujours été le cas, on se moquait beaucoup de ses cheveux + elle a dit son premier mot à l'âge de deux ans et huit mois, fais son premier pas à un an, le jour de son premier anniversaire + à ses deux ans, elle a fait tomber le gâteau d'anniversaire sur la tête de son père + elle adore le chocolat et le préfère au café + elle n'a jamais sut faire un lit correctement + sa chambre n'est jamais rangée et pourtant elle retrouve tout dans son bordel + ses soirées pyjamas sont seulement celles qu'elle fait avec sa cousine + elle aime courir et a une bonne endurance, elle avait toujours la meilleure note à l'école + elle était la fille que les filles populaires n'aimaient pas + elle attirait toujours les beaux garçons + son premier amour s'appelle Théo Lanning mais ça c'est mal terminé + elle en a beaucoup souffert, jusqu'à rester une semaine enfermée dans sa chambre pour ensuite retourner à l'hôpital et se faire accuser de la souffrance de Théo + suite à ça, elle a décidé de s'affirmer + maintenant elle ne se laisse plus marcher sur les pieds + son père voulait faire d'elle un médecin mais elle en a décidé autrement et est devenue toiletteuse pour chien à seulement vingt-et-un an + elle aime les animaux et veut crée un refuge pour les chiens maltraités et abandonné + elle n'aime pas la violence et pourtant elle sait se battre + elle sait très bien jouer la comédie + pleure sur commande + aime se faire peur en regardant des films d'horreurs + elle a un meilleur ami gay enfin c'est ce qu'elle croit étant donné qu'elle ne l'a jamais vu avec une fille + elle court tout les matins + se propose toujours pour garder les chiens des autres + voudrait intérieurement faire des études d'arts ; elle a toujours eut une grande passion pour la danse mais très peu de personne le sait + son sac à mains est un vrai bordel : cahier, stylos, pochettes de maquillage, chewing gum, des barres de chocolat, clés de maison, clés de voiture, mouchoirs, tampons, une bouteille d'eau, son ipod et son portable, un spray au poivre, une paire de ballerine quand elle met des talons, une paire de chaussette, un briquet, du parfums, son porte monnaie. + elle adore nager et se sent comme un poisson dans l'eau + les biscuits apéritifs sont ses péchés mignons + elle trie ses m&m's par couleur + elle raffole des pommes d'amour avec du pop corn + elle préfère marcher que de prendre une voiture + elle n'a presque plus de contact avec les personnes du collège + si elle devait revenir dans le passé, elle se dirait à elle-même de ne pas faire attention aux bitches de l'école + ne fume pas, ne boit pas, ne se drogue pas et aime dormir + elle adore les sports de vitesse + voudrait posséder une moto de sport + ne comprend pas les sports avec un balon, quel intérêt de se courir après pour un ballon + ne supporte pas les gros lourds + elle est très fleur bleue et croit au prince charmant + elle craque sur aldaan mais peut de personne le savent en bref, elle est unique en son genre. she's the real queen, deal with it.

emmyrossum from tumblr.

never let me go.

la naissance, new-york, treize novembre mille neuf cent quatre vingt onze. Le ciel n'est pas encore tombé sur la tête des habitants de la ville de New-York. Il n'est pas bleu, il n'est pas le bleu qu'elle avait connut autrefois dans son enfance. Non, maintenant, lorsqu'elle relève la tête, elle ne voit plus ciel, elle ne voit que des gratte-ciels qui le touchent, le menacent de leur gris. Elle en est triste, le ciel lui manque, ces soirées à regarder le ciel s'assombrir et s'illuminait soudainement par des milliers petites étoiles, ça lui manque. Il est loin le temps où elle était la petite Texane qui faisait l'objet de tant d'adoration. De fierté pour ses parents, oui il est loin le temps où sa mère venait la réveiller avec une bonne odeur de chocolat chaud sous le nez, de son baiser sur le front avec ses mots doux. Il est loin le temps où elle vivait ces moments, mais il n'avait pas disparut, non parce que bientôt ce sera elle qui endossera le rôle de la femme qui réveillera le fruit de son amour avec une bonne odeur de chocolat chaud. Une de ses mains se fait tendre sur le ventre rebondi qu'elle arbore depuis bientôt neuf mois. Elle sent des remous, un sourire apparaît sur son visage fatigué par le manque de sommeil. Elle aime déjà cet enfant comme sa propre vie mais elle n'a envie que d'une chose, qu'elle sorte le bout de son nez même si Ariane sait qu'elle ne dormira pas non plus de si tôt. Elle a besoin de dormir et de manger du chocolat. Elle lâche l'éponge et coupe l'eau pour se diriger vers l'un des nombreux placards de la salle de bain, partant à la recherche de cette tablette de chocolat. Elle bouge, une main se place instinctivement sous son ventre quand soudain, quelque chose d'humide entre ses jambes. La main lui appartenant et qui jusque là était dans le placard frappa violemment le meuble à la hauteur de son ventre. Le travail venait de commencer. Une douleur la prit de court et une grimace de souffrance marqua son visage. Elle prit le bas de son ventre avec ses deux mains et marcha rapidement vers le salon, à la recherche de l'homme de sa vie. Adrian. Celui qu'elle avait rencontré alors qu'elle n'avait que vingt-deux ans, celui qui l'avait sortit de sa petite vie de texane. « ADRIAAAAAAAAAAAAN. » hurle-t-elle en sortant de la maison, les bras en l'air, normalement elle devrait le trouver à côté de son petit bijou, son troisième amour, sa voiture. Il relève la tête, se prenant le capot derrière le crâne. Ariane cache sa bouche avec ses deux mains avant de les retirer avec un air de dégoût. « quoi ? qu'est-ce-qu'il se passe ? il y a plus de chocolat ? » Ariane s'arrête dans sa course, les mains sur les hanches, un air sans expression avant de reprendre sa folie, une contraction, ce n'était pas une grosse mais quand même. Elle pointa son ventre de ses mains. « Adrian, le bébé arrive ! » il se redressa si vite sous le coup de la surprise qu'il en tomba à la renverse. « oh mon dieu, ces hommes tous des bébés » elle jeta un regard à son ventre énorme qui lui avait permis pendant plusieurs mois d'être prioritaires pour certaines choses, comme passer devant tout le monde à la caisse, les places assise dans le bus et tout un tas de petites choses qui allait lui manquer. « oh, j'aimerais tellement que tu sois une fille » soupira-t-elle. Son voeux se réalisa le lendemain, le treize novembre de l'année mille neuf cent quatre vingt onze, à exactement minuit quatre. Sa fille, elle tenait sa fille dans ses bras, elle était certes fatiguée mais rien ne pouvait lui enlever le petit être précieux qu'on avait mit dans ses bras. Elle était complètement hypnotisée par cette enfant, sa peau de porcelaine, ses yeux bleu en amande, ses cheveux roux. Comme elle, elle avait tout hérité d'elle. Elle espérait juste qu'elle n'ait pas son mauvais caractère.

onze ans, austen valley, dans le salon, onze septembre deux milles un. « je suis une super nana ! » crie-t-elle, un bras tendu devant elle, point fermé. Elle court depuis une bonne trentaine de minutes maintenant. Elle ne s'arrêtera pas avant de retrouver monsieur bubulle et de le sauver du méchant captain cat. Le salon est devenue son terrain de jeu favori. Elle n'aime pas sortir, être avec les autres enfants car ils se moquent toujours d'elle, alors elle reste chez elle, s'inventant des histoires extraordinaires au grand dam de sa mère qui a peur de ce qu'elle pourrait devenir, une enfant repliée sur elle-même. « rocsane, calme toi s'il te plait, tu n'as plus l'âge de te prendre pour une super nana » la voix de sa mère parvient de la cuisine. Rocsane s'arrête en plein milieu du salon et soupire, sa mère a raison, comme toujours, elle va s'asseoir sur le canapé, prenant la télécommande dans sa main et commence à zappé, il est tôt, il n'est même pas encore neuf heure, elle n'a pas école aujourd'hui parce que Rocsane est censé être malade. Croisant les jambes en tailleur, la jeune rousse fixe la petite machine magique. Elle s'ennuie. Elle zappe jusqu'à a voir un gros plan sur les deux tours jumelles. Une est en feu, la jeune fille se met a pleurer sans savoir pourquoi. Elle appelle sa mère qui arrive en trombe, inquiète du ton qu'à prit sa fille. « quoi ? qu'est-ce-qu'il se passe ? » Rocsane montre du doigt la télé, sa mère pose son regard sur l'image de la tour en fumée, elle lâche soudainement le vase qu'elle tient dans ses mains et qui se fracasse en mille morceaux. « maman ? pourquoi ils ont fait ça ? hein pourquoi ? c'est pas juste ? maman il y a des gens là dedans » mais sa mère commence déjà à paniquer, prenant le téléphone et composant un numéro. Tout ce qu'elle comprit de la scène, c'était que quelqu'un était dans l'une des tours, son grand-père travaillait là-bas, Rocsane tourna la tête et le choc, la deuxième tour fut elle aussi touché. Elle se souvient de cette scène comme si c'était hier, revoyant sa mère s'effondrait sur le sol, pleurant et hurlant toute les larmes de son corps. Chaque année, elle craint cette journée, le souvenir terrible de l'effondrement des deux tours, la boule qu'elle avait dans la gorge, l'envie de courir loin, sentir le feu lui brûlait les poumons, courir, fuir jusqu'à en avoir les pieds en sang.


l'année de ses quinze ans, à l'école. partir à l'école est devenu quelque chose la jeune rousse redoutait à chaque fois, elle était malheureusement prise pour le souffre douleurs des filles populaires. Pourquoi ? elle n'en savait rien, c'était juste arriver comme ça, il fallait que ça tombe sur elle. Bon, elle avait l'habitude mais elle avait espérer qu'avez le temps, cela ce calmerait. Elle avait toujours été le vilain petit canard, la fille qu'on aimait embêter, la fille à qui l'on tirait les cheveux et à qui on volait la trousse. Chaque jours était un véritable défi. Mais un jour elle serait plus grande qu'eux. Elle le sentait. Les choses allaient changer mais elle n'avait pas encore trouvé la clé qui lui permettrait d'ouvrir la porte pour s'échapper de ce statut de fille effacée, il ne lui manquait plus qu'une chose, la confiance en soit, chose qu'elle n'avait pas et que beaucoup lui demandait. Mais elle se trouvait toujours dans l'incapacité de la leur donner. Ce qui frustrait. Pour ne pas arranger les choses, sa mère était devenue presque invisible dans les problèmes de sa fille, elle avait lâché prise à ses treize ans, elle se retrouvait seule, enfin non, il y avait son père mais comment lui dire qu'elle avait besoin de serviette hygiéniques pour ses règles ? comment lui dire qu'un certain Théo était son copain mais qu'elle le sentait partir de jour en jour ? Comment lui dire que certaines filles lui pourrissaient la vie ? Comment lui dire son envie d'évasion ? Comment lui dire qu'elle ne voulait pas devenir médecin ? Comment lui expliquer qu'elle voulait travailler en tant que toiletteuse pour chien ? Comment lui dire qu'elle était sur le point de rompre avec Théo ? Comment lui dire qu'elle avait le coeur brisé ? Elle n'avait pas la réponse. Encore aujourd'hui elle ne l'a pas. Son père est son père, tout ce qu'elle voulait à l'époque était l'aide de sa mère, une aide qu'elle ne revit plus.

au jour d'aujourd'hui. « maman, s'il te plait, ne rend pas les choses encore plus compliquée qu'elle ne le sont. » Ses pas sont rapides surement parce qu'elle s'est encore mise en retard. Ce matin elle avait voulut grappiller des minutes de sommeil, elle avait réussit. Elle est encore en retard. Serrant son sac près d'elle et sa main libre enfouie dans son énorme écharpe de couleur beige, la jeune femme ne prêtait pas attention aux personnes qui commençaient tranquillement leur journée. Ses talons claquent contre le sol, encore une fois, elle aurait mieux fait de mettre ses converses, elle aurait été tranquille mais non, elle en a encore fait qu'à sa tête. Elle a un rendez-vous qu'elle ne devait pas manquer, elle pressa le pas. Elle soupire, un peu de buée sort de sa bouche, elle roule des yeux, sa mère la soûle. Elle veut raccrocher mais sa mère se plaint, elle se plaint encore de son mari. Mais Rocsane ne veut pas prendre parti, non, elle n'a pas le droit de se mettre contre son père. Elle fit alors semblant de ne plus rien capter, coupant court à la conversation. Elle fourre son portable dans la poche de son manteau. Elle n'a aucun regret, après tout sa mère n'a pas de regret pour l'"abandon" qu'elle a fait lorsque Rocsane était jeune. Ses cheveux attachées en une queue de cheval haute bouge à chaque mouvements, elle sourit. C'est le moment. Il arrive, son petit chien dans les bras. Elle craque. Elle craque comme tout les matins, un sourire se dessine sur ses lèvres. Elle ralentit. Elle est en retard. Tant pis. Il lui fit un signe de tête, son coeur chavire, mais elle n'a pas le temps, elle lui répond un simple « Salut Aldaan. » son coeur fait des bons énormes dans sa poitrine, elle sent ses joues s'empourpraient. Elle ressemble à une gamine de seize ans devant son coup de foudre. Elle se calme et malheureuse, elle continue sa route comme tout les matins, elle aurait aimé s'arrêter et parler avec lui mais si Madame Biggins ne voit pas son caniche avec une nouvelle coiffure comme elle le dit avant onze heure, Rocsane est dans de mauvais draps. Elle ressert son sac contre elle et part au travail.