Bah. T'sais la vie est courte : comme ton pénis.

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› CALLEN VALENTINE

› he about to lose me

Tu es amoureux en ce moment ? Cassandre. Scénario typique, le pauvre mec qui n'a jamais cru a l'amour fini par se faire piéger dans les filets de cupidon, la flèche est tirée, elle lui transperce le cœur. La fille et le gars deviennent inséparables, même si initialement leurs relations n'étaient que sexuels ils finissent par devenir la drogue de l'autre, étrange désir constant de ressentir la présence de l'autre, d'y penser lorsque toutes les conditions sont propice à l'inverse et que la simple idée d'en être séparé vous arrache le cœur. Amour passionnel, fusionnel, si fort qu’inexplicable. Une complicité, des confidences, un amour, une meilleure amie, des fous rires, des délires, un enfant, un bébé mort né. Et, un matin vous vous levez et votre vie a changer, le monde s'écroule sous vos pied et vous voyez votre femme accouchait de ce bébé déjà mort. Je sombre et plonge dans l'alcool et la débauche, seul remède pour oublier la souffrance. C'est ainsi que ça s'est fini entre-nous, des cries, des larmes, des injures balançai au visage avec ce vilain mensonge de tromperie et un cœur qui n'a jamais réellement cicatrisé. Y a quoi dans ton sac à main/tes poches ?Pas grand chose, je suis loin d'avoir les poches remplies de tout et n'importe quoi comme certaines demoiselles. En effet, j'aime voyagé léger. Par contre, il y a trois choses que je ne pourrais pas ne pas avoir sur moi et ou je n'aurais aucun mal à retour chez moi même si j'étais en retard si je l'ai oubliés. La 1ère chose est mon portefeuille : vu la poisse que j'ai avoir du liquide et plus que nécessaire dans les situations urgentes. Mais c'est surtout aussi trois photos qui est superposée les unes sur les autres qui fait que je n'aimerais pas oublier mon portefeuille. La première photo est celle de ma soeur, Trish, le sourire éclatant, les yeux un peu plissé du au soleil qui l'aveuglé. A côté d'elle, ce trouve un jeune homme qui a environ son âge, les mains posés sur ces hanches il a l'air de la chatouillé. Ce jeune homme : c'est moi. Elle a l'air heureuse. On avait l'air heureux et complice. La deuxième photos représente un jeune couple, assis sur la plage. On peut voir les cheveux virvoltés de la jeune femme dû au vent, souriant au éclat, l’homme par-dessus elle, l’embrassant amoureusement. La troisième photos est une échographie. Celle de son bébé, de sa fille, morte avant d'avoir vécu. Puis, la 2eme chose que je ne pourrais pas sortir sans l'avoir sur moi et bien sûr mon iphone. Ce petit bijou fabriquer par l'homme qui est le téléphone et juste l'engin le plus merveilleux ! Et enfin le 3ème objet est ma flasque d'alcool. Cette petite bouteille plate qui me permet d'avoir toujours ma dose d'alcool sur moi. Que représente le mariage pour toi ? Le mariage : un moyen de montrer que cet être qui sera là pour le meilleur et pour le pire est l'amour de votre vie. Je n'ai jamais rêver mariage, lune de miel romantique à souhait, a vraie dire j'ai toujours penser que l'amour c'était croiser plusieurs regards, s’abandonner à plusieurs corps car pour moi il me semblait impensable d'aimer quelqu'un au point de s'imaginer vieillir à ses côtés. Puis j'ai rencontrer Cassandre. Et pourtant même si c'était la femme de ma vie, je suis arrivé bourré lors de la cérémonie et j'ai fuis en la laissant seule lors de l'ouverture du bal. Comment imagines tu l'homme ou la femme de ta vie ? Je n'ai pas de style particulier. Mais j'apprécie les femmes spontanée qui ont du caractère. Que cette femme soit ma complice, ma meilleure amie, ma confidente. Bref que je me sens bien avec cette nana.J'aime : j'aime prendre soin de ceux que j'aime, j'aime bien sourire, j'aime charrier les gens que j'aime, j'aime l'océan, j'aime les glaces, j'aime les Walt Disney, j'aime ma soeur, j'aime Cassandre, j'aime la photographie, j'aime mon ipod violet, j'aime boire, j'aime la téquila, j'aime avoir la situation en main.J'aime pas :Déteste les hypocrites et les mensonges. Ne supporte pas qu'on lui donne des ordres. N'aime pas ce cauchemar qui le hante nuit après nuit. N'aime pas la perte de sa complicité avec sa soeur. N'aime pas la perte de sa femme. N'aime pas les clowns. N'aime pas les fêtes familiaux tel que noël, Thanksgiving ... N'aime pas son addiction à l'alcool. N'aime pas me passer de mon téléphone portable. N'aime pas les secrets et pourtant ma vie est un secret à l'état pur. Comment trouves-tu Austen Valley ? Je suis né et vécu à Austen Valley toute mon enfance et je me vois mal quitter la ville. Ici, c'est la petite ville tranquille où tout le monde ce connait. Je suis un inconditionnel d'Austen Valley, c'est la ville que je maîtrise le mieux, une population qui pourrait presque me comprendre, des sons qui me sont familiers, une vie, des amis, et des ennemis aussi. Bref, Austen Valley c'est mon espace, ma respiration et mes battements de coeur. En faite si je devais me la jouer sentimental, et mec presque cool et sympathique je dirais qu'Austen Valley est et sera l'amour de ma vie..

› seal it with a kiss

Voici le test de psychologie. Celui ci est très important, puisque c'est grâce à celui-ci, que nous pourrons déterminer ton groupe. Mettre en gras les bonnes réponses. (une seule réponse par question).

› over to you now

Il l'aimait, avec force et passion, dans la ferveur d'un prosélyte pour son idole, il l'avait aimée avec la force d'un sacrifié sur l'autel de sa vie ; elle, son amie d'enfance, son amante, son épouse, demeurait ancrée dans sa chair et au plus profond de son être. La vie de deux être à l'amour inconditionnel, qui dessinait dans les brumes de leur avenir la question d'un futur enfant ; le couple transi d'amour avait pris soin d'établir une chambre pour leur futur bambin. Jour après jours, la pièce s'illuminait d'une nouvelle vie, repeinte de couleurs vives et bercées par la douceur des peluches et parfums guillerets qui y régnaient ; le loft avait gagné de ce fait une nouvelle chambre, car les amants songeaient d’ores et déjà à leur premier enfant. Le fruit de leur amour inconditionnel, leur tout, leur chair et leur sang. Et il l'aimerait, il l'aimerait autant qu'il pouvait l'aimer elle mais rien ne s’était passé comme prévu.

Bien qu’il soit né avec la beauté, l’intelligence et du talent à foison, la malchance s’était toujours accroché à ses basques comme un chien fidèle. Petit déjà il avait perdu ses parents dans un terrible accident de voiture. Ce retrouvant avec comme seule famille sa demi-sœur, Trish. Mais, elle n’était pas sa sœur, elle était juste qu’un chiot qui avait perdu sa famille quelques années plus tôt et qui avait ramené sa poisse avec elle chez les Valentine. Il lui en voulait sur le coup, lui lançant injures et paroles acerbes avant de se recevoir une gifle monumentale qui lui remit les idées en place. Elle était plus que sa seule famille, il avait tout perdu il ne pouvait pas la perdre aussi. Puis la vie avait l’air de lui sourire à nouveau, il avait rencontré Cassandre. SA Cassandre. Ils ’étaient que des enfants mais il savait déjà qu’il serait rien que pour elle. Puis elle était tombée enceinte, il avait gardé un sourire béat pendant une semaine quand elle lui avait annoncé. Il s’imaginait déjà jouer au baseball avec son petit garçon ou tournoyait sa petit fille dans le vent. Il était si heureux … Chaque soir, il s’attardait dans cette chambre qui sera la pièce la plus chaleureuse du foyer : Winnie Ourson et autres personnages de dessins animés étaient représentés dans la chambre, on pouvait voir en dessous de la fenêtre un lit d’enfant et sur le côté une chaise en bascule. Oui, il avait joué de cliché mais il était si heureux car ce bambin représenterait leur amour inconditionnel. Et puis il y a eu cette tâche noir dans ce tableau si parfait et le monde s’écroula sous ses pieds. Il avait tout perdu : son bébé, sa femme, sa vie. Il était juste devenu un alcoolique, une épave, un déchet. Il souffrait tellement qu’il avait inconsciemment fait souffrir Cassandre, il s’en rendait compte bien après et c’était toujours ce même cercles vicieux : il l’a faisait souffrir et buvait pour oublier pour la refaire souffrir. Alors il avait commis l'acte le plus suprême qu'un amour puisse porter : le sacrifice. S'éloignant pour la perdre, et pour la sauver. Son remède a donc été de boire encore et encore pour oublier sa souffrance et ne plus faire ce même cauchemar qui le hanté celui de voir sa femme accouché de ce bébé, son bébé mort. Alors il buvait et il l'a faisait souffrir car au fond il lui en voulait ! Elle était la coupable de son malheur, elle était la fautive! Celle qui n'avait pas pu lui ramener son bébé en bonne santé, celle qui avait dû accouché d'un bébé mort et lui qui devait être là présent, lui tenir la main et l'encourager à pousser, que tout aller bien, que c'était bientôt finis. Mais rien n'est finis, tout ne faisait que commencer ! Et c'était une fille, sa petite fille qui ne pourra pas voir grandir car Cassandre avait pris la voiture, elle avait osé prendre la voiture enceinte et mettre en vie son bébé ! Alors il la faisait souffrir. Inconsciemment certes mais il la faisait tout de même souffrir. Ils s'éloignaient l'un de l'autre et cette amour qu'ils se portaient n'y pouvait rien alors ils ont eu idée de se marié de se jurer être toujours là l'un pour l'autre contre les malheurs de la vie. Peut-être est-ce à cause du blasphème d’avoir fait un bébé hors mariage que le sort c’était acharner ? Je n’avais jamais cru à une divinité ou au destin mais voilà sur le coup de la peine et des remords, Cassandre n’avait vu que le mariage comme solution pour nous sauver. Le jour J, je n’étais pas à l’Eglise à rigoler au blague idiote de mon témoin et meilleur ami, je n’étais pas à faire les cent pas à stresser d’avoir la corde au cou … Non, j’étais tout simplement au Black Mystic : club de striptease. Fallait-il réellement décrire à quoi ressemblait cet endroit de décadence absolue que ces derniers siècles avaient apporté à la civilisation ? La sensualité brûlante qui s'exilait de ce marché des sens, mais surtout du sexe brutal et brumeux d'une imagination trop fertile, brimée par ces règles de l'interdit ? Il fallait reconnaître qu’il était agréable de s'y trouver, et que certaines filles valaient plus qu'une seconde égarée, qu'une œillade délaissée. Mais il était plus là pour l’alcool que pour les filles et il s’était vite retrouvé soul dans ce lieu de débauche répondant aux regards aguicheurs de certaines demoiselles. Il devait être auprès de sa futur femme, la regarder descendre l’allée au bras de son père avec sa magnifique robe de mariée mais au lieu de ça il était là à boire et à mater des jeunes filles dansant presque à poil. Il n’était rien d’autre qu’un connard et surement si Aidan ne l’avait pas retrouvé, il aurait fait une connerie le jour de son mariage. Un soupir inaudible et presque silencieux franchit la barrière de ses lèvres alors que le prêtre venait de finir. Ils étaient mariés. Un poison violent contorsionnant son estomac et affolant son palpitant de glace, il l’aimait. Il aimait sa tortionnaire, d’un amour fou. Il voulait lui offrir par amour du jeu les histoires des contes de fées, il se ferait prince sur des vers d'un Apollinaire appelant à l'éros pour que leur histoire piquante ne soit pas qu'une affaire de luxure. Mais c’est avec une main trop violente ou une approche malhabile qui consumer leur amour, il était devenu Mr. Hyde face à son addiction à l’alcool, il était loin d’être un prince comme dans les contes d’enfant. Et en prime d’être arrivé bourré à la cérémonie, il s’enfuit lors de l’ouverture du bal laissant Cassandre seule, face aux invités. Il réfléchit trop et il se remémoré trop de vieux souvenir, il voyait très bien qu’il avait été qu’un enfoiré avec Cassandre lors de leur mariage, il voulait juste oublier. Alors comme une habitude qui était devenu un geste quotidien dans sa vie, il était dans un bar se bourrer la gueule. Boire pour oublier et oublier qu'on a bu, vous ne connaissez pas ce célébrissime cercle vicieux ?! Ouais, ils avaient raison, il n’était bon qu’à ça. Boire. Déboucher la bouteille. La porter à ses lèvres. Et après, descente en enfer. Directement sur l’autoroute qui y menait. Yeah, he was on the highway to hell. Dans un véhicule à grande vitesse. On lui avait piqué les clefs, et quand bien même il les aurait, il les aurait balancés par la fenêtre ouverte. Car il roulait, fenêtres ouvertes, la musique à fond. Et il rigolait. Ça le faisait rire. Pourquoi pas, après tout ? Mieux en rire qu’en pleurer, pas vrai ? Ouais, nan, vaut mieux en crever. Boire. Poser la bouteille vide. Boire. Poser la nouvelle bouteille vide. Boire. Et oublier. Comme si c’était possible. Rhum. Vodka. Whisky. Son regard se durcit. Le cocktail le plus explosif qu’il soit. C’était exactement ce dont il avait besoin. Simple, rapide, et efficace. Il attrapa la première bouteille qui lui tomba sous la main. Vodka. Parfait. Le plus puissant, ça ne pourrait que lui faire du bien. Le bouchon tomba bientôt à terre. Le goulot à ses lèvres … Il ferma les yeux. Et savoura la sensation du liquide corsé s’écoulant dans sa bouche. Ça faisait longtemps. Une nouvelle rasade … Il sentait son œsophage le brûler, protestant contre ce traitement. Mais il ne l’écouta pas. Et, bientôt, la première bouteille fut vide. Ses pensées commençaient à se brouiller, mais très légèrement. Trop légèrement. Il était endurant, maintenant, il en fallait beaucoup plus que ça pour le saouler. Aussi attrapa-t-il la suivante, le rhum. Son goût ambré … Ah. Ça allait mieux. Non, ça n’allait pas mieux en fait. Il s’arrêta, regarde sa main tenant sa bouteille, comme s’il se demandait ce qu’il était en train de faire. Mais cette putain de soif qui lui tiraillait la gorge lui rappela que non ce n’était pas finie. Et hop, une rasade de plus. Sa langue se passa sur ses lèvres. C’était bon. Tellement bon. Encore. Et la bouteille y passa. Il ne lui en restait plus qu’une : Whisky. De toute façon, il n’était plus vraiment en état. Depuis longtemps. Avec ses cheveux dans n’importe quel sens, et la tête de quelqu’un qui a bu. Il était complètement à l’ouest. C’est dans cet état qu’il était rentré chez eux, auprès de sa Cassandre. Il avait été accueil par une gifle monumentale mais comme la Bible le dit quand on te gifle tend l’autre jour, il n’a pas eu besoin de le faire qu’elle s’occupa de son autre joue. Il n’avait rien fait pour l’arrêter et comprenait très bien son geste. Et la voir dans un état pareil l’horrifiait. Il se rendait enfin compte du mal qu’il avait pu causer à cette femme qui ne le méritait pas. « Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi hein ! ... mais réponds moi bordel ! » Ses parole le hante et ses mains tremblent, sa respiration est saccadée, son cœur bat à la chamade. Il sait ce qu’il lui reste à faire mais voir ses yeux s’humidifiait lui fait souffrir : elle pleure et cela par sa faute. Il ne lui apporte que souffrances et tristesses, elle sera bien mieux sans lui. Et la sentence et tomber, il lui ment et la faire encore plus souffrir. Il n’aurait pu succomber aux délices d’autres courbes que les siennes mais il sait que c’est la seule chose à dire pour qu’elle s’éloigne et part loin de lui. Il sait qu’il fait une énorme connerie car cette nana c’est la femme de sa vie et qu’il est loin d’avoir toutes ses capacités intellectuelles à l’instant pour pouvoir prendre une décision aussi importante ce soir mais c’est fait. Ses mots fusent et il lui « avoue » à demi-mot qu’il l’a trompé, que ses mains ont parcouru un autre corps que le siens, qu’il a eu du plaisir avec autrui qu’elle. Son regard me hante encore. Il y avait, dans sa façon de le regarder, quelque chose qui le rebutait. Comme si en deux petites heures, il avait changé du tout au tout dans sa façon de le voir. Pourtant, il était toujours le même, brun, grand, un besoin d’amour inconditionnel. Mais il savait qu’à l’instant où ses mots sont sorti de ses lèvres qu’elle le verrait telle qu’il était réellement, elle l’avait enfin ôté ce piédestal sur lequel elle l’avait installé. Il n’était pas l'homme le plus merveilleux, il n’était pas l'homme parfait, le prince charmant, il était devenu comme le commun des mortels, un homme qui commet des erreurs, un homme qui trompe sa femme. Il avait voulu continuer car plus il l’a faisait souffrir et plus il n’y aurait aucune chance pour qu’elle revienne vers lui mais il n’avait pu placer un mot qu’elle le gifla encore une fois. Et il était parti dormir. Tout simplement. Le lendemain, celui-ci s'est réveillé par un réveille houleux de la part Leeves, la petite sœur de Cassandre, lui hurlant des hostilités et que sa Cassandre est partie et pour de bon. Il ne comprend pas. Il a l’impression de faire un mauvais rêve. Pire, un cauchemar. Pourtant, la douleur béante dans sa poitrine lui fait prendre conscience qu’il est éveillé et qu’il s’agit tout simplement de la réalité. D’une réalité qu’il ne veut pas. « Elle est partie et pour de bon. » Ces mots résonnaient en lui. Depuis... Depuis que c’était arrivé. Comment avait-il pu en arriver là bon sang ? Comment avaient-ils pu en arriver là ? Tout est de ta faute Valentine. Il avait été sèche, cruel, sans cœur, infâme, dégueulasse, pourri, monstrueux, détestable, salop, con, immonde, infect, horrible, méchant, odieux, abject, exécrable, abominable, atroce, écœurant, méprisable, vile, haïssable, enfoiré... Comment avait-il pu finir comme ça ? Comment avait-il pu faire preuve d’autant de cruauté et de violence ? La réponse était évidente : il avait tout simplement mal. Et la douleur avait surpassé toute bonté en lui. Une douleur immense, à un point tel qu’il n’arrivait plus à respirer, que son cœur avait implosé et que les débris se baladant dans son corps détruisaient le peu qui restait de lui, à savoir son enveloppe physique. Son cœur venait de disparaître, quant à son âme... il était en perdition, on ne savait trop où, entre nulle part et ailleurs, là où seuls des insectes pouvaient l’emmener. Et il se hait pour ça. Pour le mal qu’il lui a fait, pour le faite de l'avoir perdue. Sa tête lui fait mal et son esprit s’échauffe. Pour couronner le tout, ses yeux lui picotent. Bientôt, sa vue est brouillée. Sans doute à cause des larmes qui dévalent ses joues comme des sillons. C’est la première fois qu’il pleure, même à la mort de ses parent, il n’avait pas versé de larmes, lorsque son bébé est mort, il n’a pas versé une seule larme. Il ne voulait pas le faire devant elle, il ne voulait pas par être faible devant elle. Là, à force de s’être retenu, il n’en peut plus. Il explose. Il pleure sans aucune retenu. Personne ne le voit, après tout. Ses sanglots sont drôlement bruyants, mais qu’importe. Il faut qu’il évacue tout ce qu’il a en lui. C’est la seule façon de pouvoir aller en avant par la suite. Il a déjà eu des blessures physiques, certes. Mais cette blessure fait bien plus mal que toutes les autres blessures. En face de lui, un miroir. Il ose se regarder, mais l’image que l’objet lui reflète lui fait peur. Il fait vraiment peur à voir. Pour ne pas arranger les choses, son regard s’attarde sur un cadre où règne une photo d’eux deux, s’embrassant. Avec rage, il s’en empare et le jette à terre. Le cadre se brise. Il s’est emporté, mais ça m’a fait du bien. Alors, comme si le fait de briser ce cadres l’aient représentant pouvait la blesser, et il répète la même opération avec les restants. En ce moment, il l’a hait. Et pourtant il l’aime plus que n’importe qui au monde. Il sait que tout cela est de sa faute mais ça fait trop mal de dire que tout est fichu à cause de soi.

+ PSEUDO/PRÉNOM : Rim. + ÂGE : 22 ans. + RÉGION : Paris. + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? : Par Ash alias Cassandre. + AVATAR : Jared Padalecki. + COMMENTAIRES : .

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