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 We're sick like animals we play pretend (Silley)

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2 participants
AuteurMessage
Leo Mayers
NEVER LET ME GO
Leo Mayers


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MessageSujet: We're sick like animals we play pretend (Silley)   We're sick like animals we play pretend (Silley) EmptyJeu 25 Oct - 18:21

De mauvaise humeur à cause de la salle journée qu'il venait de passer, Leo ne se sentait pas l'envie de rentrer directement chez lui. Bien sûr, tout serait sans doute plus clair dans son esprit quand il aurait retrouver Olivia, cependant il avait préférer retarder un peu le moment de la rejoindre. Il avait ressentit un vif besoin de se sentir un peu seul. Sentiment bien étrange chez lui qui aimait d'ordinaire beaucoup la compagnie des autres. Il l'aimait toujours. Il avait simplement besoin d'un peu de temps pour lui. Leo avait décidé de rejoindre le port. Il n'aurait sut dire pourquoi, peu être car son père l'y amenait souvent quand il était petit et qu'il fallait toujours que sa mère parvienne à le prendre dans ses bras pour réussir à l'en faire partir. Dans ses souvenirs, il se sentait toujours très bien alors que son regard se fixait sur l'océan. Plus grand, il s'appuya sur un muret et observa la vue. Il avait éteint son portable, ainsi rien ne troubla cet instant. Il ne doutait pas que sa mère devait tenter de le joindre en cet instant. Elle allait sûrement s'inquiéter sa raison, mais qu'importe : il la rassurerait dans quelques minutes. Il tourna la tête en sentant une présence derrière lui. Une jeune femme venait de le dépasser. Il fronça les sourcils en l'observant. Il la connaissait, il fallait simplement qu'il parvienne à la situer. Silley ? Dit-il, espérant ne pas se tromper. Il se tourna pour dévoiler son visage et resta dans l'attente, tachant de se remémorer la dernière fois ou il avait vu Silley Odair. Leur rencontre remontait à tant d'années. Lorsqu'il lui avait parlé pour la première fois, il n'était qu'un bébé pour ainsi dire. D'abord bons amis, ils s'étaient éloignés avec le temps. Leurs points communs semblaient s'être effacés, le temps ne faisant que souligner tout ce qui les séparaient désormais. Pour autant, Leo l'interpella malgré tout. Malgré tout, il tenait à elle et était curieux à son sujet. Elle fit volte face et Leo se demanda s'il avait changer. Après tout, ils se voyaient encore au lycée et même après, ce n'était donc pas comme si elle ne s'était plus retrouvée en face de lui depuis l'enfance. Il se présenta malgré tout. C'est Leo, Leo Mayers.
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Silley Odair
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MessageSujet: Re: We're sick like animals we play pretend (Silley)   We're sick like animals we play pretend (Silley) EmptyVen 26 Oct - 22:58



BY SOMEONE FROM TUMBLR
› leo and silley
and it will be just like you were never gone

Le port d'Austen Valley était un de mes endroits préférés au monde. Non pas pour des raisons habituelles ou puériles que tout le monde sort, comme "c'est ici que j'ai rencontré mon premier amour" ou "c'était l'endroit préféré de ma mère.". Non pas pour des raisons comme ça, d'une parce que je n'étais pas assez proche de mes parents pour ça et qu'ils étaient en vie et de deux, parce que je n'ai jamais connu de premier amour, ni l'amour tout court. Non, c'est parce que c'est à cet endroit précis que j'ai appris pour l'accident de mon petit frère. Vous me direz, ça devrait plutôt être l'endroit que je déteste le plus au monde. Je répondrais que je ne suis pas d'accord, les endroits qui peuvent vous changer la vie ou bien là où vous apprenez quelque chose qui pourrait la changer, ce sont des endroits merveilleux, même si votre vie se transforme en cauchemar. On ne devrait pas considérer les endroits où la malchance nous ait tombé dessus comme de mauvais lieux. Quoi qu'il en soit, mon frère avait survécu, malgré sa maladie, malgré sa peine, malgré tout. Et je considérais donc que cet endroit était là où je pourrais trouver ma chance. Non pas que je sois si sentimentale. Bref, c'était une journée plutôt ensoleillée, pour une fois je ne travaillais pas et Lucifer ne m'avait pas rappelée à l'ordre, j'étais donc libre de faire ce que je voulais, comme me ressourcer dans mon endroit favori de cette ville. J'ignore combien de fois j'étais venue ici depuis son accident mais sûrement assez pour que les patrons des différents commerces me sourient et me saluent comme s'ils me connaissaient depuis toujours. C'est justement après avoir parlé à l'une de ces personnes que j'avais reconnu quelqu'un de mon passé, du moins sur le coup je le crus puis j'en déduis que c'était impossible alors j'avais continué de marcher, jusqu'à ce qu'il m'interpelle, par mon prénom. Je me tournai, c'était lui, oui, c'était bien lui, Leo. Leo Mayers, ancien fidèle ami et abruti lâcheur d'amis. Encore une fois, non pas que je sois sentimentale, mais certaines choses ne se font pas, comme ne jamais donner signe de vie à une amie d'enfance qu'on a toujours côtoyé. Certes, je n'avais pas fait d'efforts non plus. "Leo. Leo Mayers. Je me disais bien.. Une tête connue." J'étais restée assez perplexe, neutre, comme si le voir était d'une banalité affligeante, même si, étonnement, ça me faisait plaisir de le revoir, et mon dieu qu'il était sexy. "Ça faisait longtemps, n'est-ce pas ?" Sarcasme pur. Pour éviter qu'il ne prenne peur, je lâchai tout de même un sourire. Leo Mayers, à mon endroit de chance, je me demandais ce que ça voulait dire mais comme je ne croyais pas réellement au destin, j'en déduisais que c'était encore un coup de ce cher petit port, sans jeu de mots. "T'as l'air en forme ! Et en même temps tracassé." S'il se sentait mal, j'allais sûrement l'enfoncer. Du grand Silley.
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