❝ and it hurts like heaven (soren)

BY UNKNOWN FROM TUMBLR
› soren, roddens

› he about to lose me

Tu es amoureux en ce moment ? amoureux, moi? pitié, laissez moi tranquille avec vos histoires d'amour à la con, je n'ai pas le temps et la patience pour m'embarquer dans ce genre de chose. et puis, de toute façon, je ne suis pas assez dans un état stable pour me faire une petite amie. il faut que je me débarrasse de ces embrouilles en premier vois-tu. Y a quoi dans ton sac à main/tes poches ? des clopes, mon portable et un briquet. Que représente le mariage pour toi ? le mariage ? ça signifie rien. deux promesses foutues en l'air, des disputes à n'en plus finir... puis le divorce. ah, ne me dis pas que j'ai tord, parce que j'ai tout-à-fait raison. Comment imagines tu l'homme ou la femme de ta vie ? petite. blonde. intelligente. ouais. J'aime : la pluie, le vieux rock 'n' roll, les jeans, les filles, la bière, la drogue, les bars. J'aime pas : les filles superficielles, les gens naïfs, les responsabilités, les foules, les films d'amour, les restaurants chics. Comment trouves-tu Austen Valley ? bien la petite ville. ayant été à plusieurs endroits dans ma vie, j'ai l'expérience qu'il faut pour en déduire que cette ville est plutôt bien. plusieurs fournisseurs sont disponibles donc ça me donne l'occasion de pouvoir revendre rapidement.

› seal it with a kiss

Voici le test de psychologie. Celui ci est très important, puisque c'est grâce à celui-ci, que nous pourrons déterminer ton groupe. Mettre en gras les bonnes réponses. (une seule réponse par question).

› over to you now

« Êtes-vous heureux monsieur Roddens ? » un non aurait été suffisant, face à ce monsieur qui n’en avait rien à faire de ma stupide vie sans intérêt. Si jamais je pouvais lire dans ses pensées les plus profondes, je pourrais finalement dire à mes parents stupides à quel point ce mec qu’on appelle le ‘psy’ n’en a rien à foutre de ma vie. Il n’est là que pour me juger, point à la ligne. Je ne peux pas croire que ces gens sont payés pour écouter les gens se plaindre. Moi, je ne me plains pas. Je suis encore en vie. J’ai des clopes. J’ai ma drogue. Tout va bien. Je me fais du fric à revendre la marchandise, puis voilà quoi. Je n’ai pas besoin de bosser comme un malade pour finalement devenir un stupide PDG. J’paris que j’ai un quotient intellectuel plus élevé que ces bâtards. J’vous assure. Je fis un soupir qui se fit entendre dans toute la pièce, puis croisais mes bras. « Je vous assure monsieur, ne perdez pas votre temps avec des gens comme moi. J’suis plus heureux que jamais. Ça vous suffit, j’peux partir maintenant ? » dis-je en haussant les sourcils et en commençant à hausser le ton. Ce petit bâtard commençait à m’horripiler, et je n’aimais pas l’odeur que dégageait ce petit riche… p’tête pas autant que la manière dont il s’y prenait pour me regarder. Il leva un bras pour jeter un œil à sa montre. « Je crois que ça fait cinquante-neuf minutes. Je… » je ne pris même pas le temps de le laisser finir, je me levais en vitesse et fichais le camp de cette stupide pièce bondée de trucs inutiles. Et compris le psy. En sortant, je me fis intercepter par deux personnes qui bloquaient le passage. Ces personnes se trouvaient à être mes parents. Oh geez, je suis dans la merde. Ils ont surement tous entendus. Je lâche un gros soupir. « Qu’est-ce que vous faites là ? Vous savez que j’en peux plus de ces conneries de psychologues. J’ai pas de maladie mentale. Laissez moi tranquille. Cassez vous quoi. J’en ai marre. » ces mots étaient sortis tout seul. J’suis un homme franc moi dans la vie. Ce que je pense, je finis toujours par le dire. C’est comme ça. Peut-être avais-je prononcé ces mots sur un ton plutôt rude et froid, mais j’avais tellement été irrité par ce chien errant que j’en avais encore sur le dos. J’allas me diriger vers mon appart pour me snifer une ligne de coke de toute façon. Donc, ça allait compenser. « Justement, Soren. On en a marre de payer pour tes conneries. On part. En Australie. On te laisse gérer ta propre vie. Tu es devenu assez grand de toute façon. On te laisse 100 $, trouve toi un boulot. Au revoir. » la gueule venait de littéralement me lâcher, je ne pouvais pas y croire, ils me quittaient vraiment ? Après tous ces déménagements ? Qu’est-ce que j’allais faire avec ces foutus 100 $ ? « Mais… je vais aller vivre où ? Vous rigolez c’est ça ? Elle est bien bonne votre blague. Allez, on retourne à la maison. » alors que je tassais le corps de mon père pour poursuivre mon chemin, celui-ci me pris par la bras, puis me fit signe de la tête pour que je les écoute. « Tiens, ta nouvelle adresse. Austen Valley. N’essaie pas de nous retrouver. » Mais ils sont fous ces blagueurs ! « Bande de branleurs. » fut les derniers mots que j’adressais à mes parents, puisque je les tassais en prenant le morceau de papier que père m’avait tendu. Un appart à Austen Valley hein… j’espérais avoir un appartement de luxe pour que j’puisse le revendre et me payer un autre appartement moins cher ouais. Et c’est justement cela qui arriva. Thanks mom and dad. Maintenant, allez vous faire foutre. Je vis seul… tant mieux et de toute façon, c’est mieux ainsi.

(...)

Clope à la bouche. Je marche seul dans la rue, sous les lumières des lampadaires et sous un ciel étoilé, n’ayant qu’en tête de marcher pour trouver des gens qui ont l’air de vouloir un peu de coke. Marcher autour des bars semblaient être le moyen parfait pour trouver ces gens, puisqu’ils rentraient la plupart du temps, soit déjà bourré, soit carrément défoncé. Je sentais les regards se diriger vers moi, peut-être parce que mon physique est intimidant – comme vous dira surement Clara Storm si vous lui demandez quelle a été sa première pensée en me voyant. J’suis pas trop sûr, mais bon. Elle et Tommy seront surement les premières et les dernières personnes qui tenteront de m'aider avec la drogue... ils m'énervent, mais bon, je les aime. Je squattais les environs, puis vis une longue file d’attente pour une boite de nuit. Je me collais contre le mur près de l’entrée, puis continuais de fumer ma clope en fuyant le regard des gens. Ils savaient que j’étais le dealeur du coin. Que j’en vendais. Donc ils n’avaient qu’à venir vers moi. J’avais l’intention de me faire tout plein de pognon, et pas qu’en centaine. J’étais bien fourni. Alors que je relevais les yeux vers cette foule, je pus voir une silhouette familière. Enfin, elle n’attendait pas en ligne. Elle marchait, accompagnée d’une amie, près de la file d’attente. Je reconnus aussitôt la voix de July Montgomery. Je lâchais subitement ma clope par terre et priais pour qu’elle ne m’aille pas vu. Je fonçais vers ma droite en adoptant une marche rapide, et en ne lâchant aucun regard derrière moi. J’aimais bien cette petite certes, mais je ne voulais pas qu’elle s’attache à moi. Je ne suis pas assez bien pour elle de toute façon. Je ne sais même pas pourquoi elle s’intéresse à moi de un, et de deux, je ne veux pas la ramener dans mes sales expériences avec mes fournisseurs. Je ne pourrai jamais me pardonner le fait qu’un de ces jours, je pourrais la blesser. Alors je m’éloigne. Mais elle a le don de toujours vouloir pousser plus loin, elle a un de ces charmes auquel je ne pourrai jamais résister. Putain. J’suis pas amoureux. Je ne le serai jamais de toute façon. Mais elle fait sortir ce petit côté de moi-même qui ne m’était inconnu qu’avant sa rencontre. Pfff. À croire qu’une femme peut faire en sorte que je ressente ce genre de choses…

Soren Roddens* a écrit:

bonsoir mlle canon, katie cassidy est juste sublime. merci à toi.

tu sais parler au gens dis donc garde moi un excellent lien