+ blow me (one last kiss).

BY PATCHSANGLES FROM TUMBLR
olivia jones

› he about to lose me

Tu es amoureux en ce moment ? Olivia n’a jamais été amoureuse qu’une seule fois, et c’est ainsi qu’elle n’a aucun doute quant à ses sentiments pour Léo. Il n’y a jamais vraiment eu que lui au final, elle n’a jamais ressenti de l’amour pour aucun autre de ses petits-amis et si elle a mit longtemps à comprendre ce qu’il se passait avec ses sentiments, c’est invariablement de l’amour. Elle aime Léo de tout son corps, de tout son cœur. Y a quoi dans ton sac à main/tes poches ? Etant donné qu’elle range son sac tous les soirs, il ne ressemble pas à tous les autres fourres tout féminins. Tout est à sa place et elle ne passe pas trois heures à chercher ses clés. La plupart du temps, on y trouve son i phone et son blackberry professionnel, sa trousse de maquillage, des mouchoirs, ses clés, ses lunettes de soleil, un magasine féminin, son agenda, plusieurs stylos, son i pad en général, ses papiers d’identité et son porte-feuille. Que représente le mariage pour toi ? Olivia n’est absolument pas contre le mariage, elle est contre le divorce par contre. Ce qui complique pas mal les choses dans son esprit. Aujourd’hui, les gens prennent le mariage pur quelque chose de banal, ce n’est pas grave, au pire on divorcera plus tard. Elle trouve cela ridicule et regrette l’ancien temps où l’union signifiait tout. Si elle se marie, ce sera pour la vie ou rien du tout. Elle ne désire pas passer devant le maire plus d’une fois. Comment imagines tu l'homme ou la femme de ta vie ? Comme Léo, ce qui explique principalement pourquoi ils sont ensemble. Elle ne va pas chercher plus loin, c’est lui et personne d’autre. Eventuellement s’il avait pu être orphelin… J'aime : la chaleur, les jus de fruit, les hamsters, les histoires de vampires, prendre un long bain chaud, le yoga, son travail, le rock, la marche à pied, les toboggans, rire, les chaussures à talons, son téléphone, la glace au café, le melon, les voix graves, la générosité, brad pitt, le bon vin, les discussions au coin du feu. J'aime pas : les animaux, les basses température, la neige, le chocolat, la tomate, les faux espoirs, les coups dans le dos, les hôpitaux, les vêtements oranges, les commérages (lorsqu’ils la concernent), avoir la gueule de bois, dormir moins de cinq heures, ne pas comprendre ce qu’on lui dit, ne pas avoir une situation bien en mai, le désordre, les végétariens, les fénéants. Comment trouves-tu Austen Valley ? Etant donné qu’elle a grandi dans cette ville et qu’elle ne l’a jamais vraiment quitté, il est évident qu’elle apprécie beaucoup y vivre. Il n’y a pas l’agitation de New-York mais on ne croise pas de vaches au coin du chemin. Elle possède beaucoup de souvenirs dans cette ville et n’aimerait pas devoir tout quitter.

› seal it with a kiss

+ PSEUDO/PRÉNOM : fever.aly. + ÂGE : vingt. + RÉGION : dans le sud ouest. + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? : par bazzart. + AVATAR : teresa palmer. + COMMENTAIRES : honnêtement, le travail est énorme et tout est superbe .

« Qu’est ce qu’il a dit cette fois ? » Excédée, Olivia n’arrêtait pas de faire les cent pas dans la chambre de sa sœur en serrant les poings à intervalles réguliers. Elle regrettait parfois de ne pas faire de boxe simplement pour le plaisir de frapper quelque chose, ou quelqu’un. Elle grogna et marmonna quelque chose d’inintelligible tandis que sa sœur s’installait sur son lit. « Je vais le tuer. » Et ce n’était pas l’envie qui manquait, ça non, simplement la perspective de se retrouver en prison l’échaudait. Surtout pour ce crétin. Un cri de rage s’échappa de ses lèvres et elle tapa du pied comme une gamine essayant d’évacuer la rage. Elle aurait du pleurer. Elle avait entendu dire que c’est ce que les femmes font à sa place mais elle ne comprenait pas. Elle n’avait pas envie de pleurer mais de lui refaire le portrait à cet imbécile. « Il a couché avec Lisa. » Elle cracha ces mots plus qu’elle ne les lui réclama. Elle ne pouvait pas le croire, il était tout sucre, tout miel et par derrière il se tapait sa voisine. Stupide idiot mal fagoté. « Et tu sais pourquoi ? » Sa sœur hocha négativement la tête, sachant pertinemment que parler ne rimait à rien. « Parce que puisque je couche avec Léo, il peut bien se faire Lisa. » Elle avait imité sa voix et sa position de triple idiot avec maintes exagérations. Si elle continua à marcher, elle continua aussi à parler. La colère la rendait bavarde. « D’abord, il le frappe parce qu’il me dit bonjour et qu’il reluque soit disant mon décolleté, comme s’il y avait quelque chose à voir de toute façon… Pfft, cet idiot est persuadé que je vis une folle idylle avec Léo et donc, puisque cela revenait à aller voir ailleurs, il s’est dit qu’il pouvait le faire sans problème. Quel mufle. » Nouveau tapement de pied, nouveau mugissement. « Et ce n’est pas le pire. Non, le mieux c’est quand il m’a avoué ça, tranquillement, comme s’il me disait qu’il avait été faire les courses. T’imagines la conversation ? Oui, j’ai terminé mon devoir de physique, j’ai couché avec Lisa ensuite et j’ai mangé des pommes de terre au diner. Pauvre tache va. » Elle avait élevé la voix comme s’il pouvait l’entendre. Elle s’apprêtait à continuer sa tirade dithyrambique mais fut interrompue par la sonnerie de son téléphone auquel elle répondit sans entendre en constatant qui était son interlocuteur. « Dis, tu ne voudrais pas me tenir Grant pendant que je le roue de coup par hasard ? » Léo comprendrait bien assez vite, ou peut-être après une ou deux explications supplémentaires, qu’elle ne tarderait pas à donner étant donné son état d’énervement avancé. « Ou l'inverse, je ne suis pas difficile. »

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« Mais c’est quoi ce truc ? » Sa sœur reposa la bouteille, un air passablement dégouté au visage. Et effectivement, ce breuvage était absolument immonde. « C’est pour mon cours de communication. » Elle ne leva pas le nez de ses feuilles, qu’elle regardait à peine ceci dit. « Trouvez-moi un moyen de promouvoir cette merde, les mots du prof, pas les miens. » Elle savait qu’elle serait surement confronté à ce genre de situation dans le futur mais là c’était quand même le summum, une boisson d’un magnifique vert vomis qu’on ne se demanderait pas si ce n’est pas ce qu’il y a l’intérieur tellement c’est imbuvable. « Bonjour le sadisme. » Olivia hocha la tête, totalement d’accord tout en tapotant la table du bout des doigts. Elle ne se rendit compte que sa sœur lui parlait qu’au moment ou quelque chose de lourd lui percuta l’épaule et qu’elle releva la tête. « Eh, tu m’écoutes ? » Non. Pour autant elle dit un effort pour paraitre contrite et lui fit ses yeux de chiens battus pour se faire pardonner. « Pfft, t’es insupportable. C’est quoi le problème aujourd’hui ? » Sa sœur exagérait, ce n’était pas comme si elle avait tout le temps des soucis. Il était vrai que sa vie était assez mouvementée mais cela restait anecdotique. Enfin presque… « C’est Léo. » Elle entendit sa sœur rire et leva les yeux vers elle. « Ce n’est pas toujours Léo ? » Peut-être. Oui, elle avait raison, quoi qu’il arrive dans sa vie, Léo était présent. C’était son meilleur ami. Lorsqu’elle avait un problème, elle l’appelait. Lorsqu’elle avait envie de parler, elle lui envoyait un mail sans queue ni tête. Si elle voulait sortir elle passait le prendre chez lui. « On s’est embrassé. » Se mordillant la lèvre, Olivia se sentit rougir et tripota nerveusement un stylo alors que sa sœur se redressa d’un coup. « QUOI ? » Ça c’était de la réaction. Elle acquiesça de la tête et fronça les sourcils en observant sa réaction. « MAIS NON, C’EST PAS POSSIBLE ! » Elle ne comprenait pas vraiment d’où ça sortait mais visiblement du fond du cœur. « Mais t’abuses, j’avais parié que ça arriverait pas avant l’année prochaine. » Sa sœur s’énerva toute seule sur un ours en peluche laissant Olivia totalement perplexe. Il lui fallut quelques secondes précieuses pour comprendre ce qu’il se tramait. « Tu rigoles ? » Elle était complètement choquée et ses yeux s’étaient écarquillés d’eux même. « Euh… » Sa sœur eut la bonne idée de paraitre gênée et observa avec une attention feinte le mur d’en face. « Ce n’est pas ce que je voulais vraiment dire c’est que. » Olivia la coupa en plein milieu sans même y penser. « Combien ? » Elle appréciait voir sa sœur si contrite et comptait la faire mariner un bon moment. Après tout elles s’étaient bien fichues d’elle derrière son dos ces deux pestes alors elle méritait bien un juste retour des choses.

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Ses lèvres avides capturaient tour à tour chaque partie du corps de Léo, léchant, mordillant au fil de leur trajet. La jolie blonde finit par se mettre sur lui, leurs deux corps s’emboitant à la perfection, comme s’ils avaient été créé l’un pour l’autre. Le moment était parfait, les bras de Léo enserraient son corps tandis qu’ils arrivaient peu à peu. Si en général une petite vibration n’était pas un mal, celle du portable de Léo par contre était absolument de trop. Encore plus lorsqu’Olivia eut le malheur de tourner la tête vers la table de nuit pour constater que sa mère appelait son fils chérie. Dieu du ciel. Soupirant bruyamment, elle posa son front sur celui de son homme avant de rouler sur le côté pour s’allonger sur le dos, fixant désespérément le plafond. « C’est ta mère. » Mais cela restait évident. C’était la seule femme capable de lui faire cet effet. Déjà lorsqu’ils étaient plus jeunes, elle trouvait la mère de ce dernier bien trop présent dans sa vie mais depuis qu’ils étaient ensemble, elle avait l’impression d’être en couple avec elle aussi. C’était tout bonnement impressionnant. « Chérie, on vient de diner chez elle. Encore. » Elle ne voulait pas avoir l’air trop vindicative mais bon sang, elle déjeunait là bas plus souvent que chez ses propres parents. « On vient de rentrer, laisse sonner, il ne peut pas s’être passé quelque chose d’horrible depuis une heure. » Elle avait envie de se frapper la tête contre les murs tellement cette situation était ridicule. Elle devait se battre contre sa belle-mère pour avoir l’attention de Léo. Elle vit qu’il hésitait à répondre tandis que le portable s’arrêta pour mieux recommencer quelques secondes après. Olivia tenta alors le tout pour le tout, déposa un baiser sur l’épaule du brun tout en laissant sa main vagabonder sur son corps musclé. Elle passa une de ses jambes entre les siennes et la frotta langoureusement de haut en bas, souriant lorsqu’elle se rendit compte qu’elle avait récupéré l’attention de son homme. Olivia 1, la belle mère 0. Elle récupère la balle, tire et marque.