i must confess that my loneliness is killing me (cicelley)

BY SOMEONE FROM TUMBLR
› cicely and silley
you may say that I’m a freakshow, I don’t care, But, hey, give me just a little time, I bet you’re gonna change your mind.

Aujourd'hui c'était dimanche et Cicely était seule chez elle, pour une fois Logan n'était pas là, je lui avais donc promis de passer chez elle afin de parler un peu et elle voudrait sûrement me parler de Niels, puisque je suppose que Logan ce sera fait un plaisir de lui avoir dit que je le revoyais de temps en temps. Dans un sens, je devrais leur dire que ça n'est pas leurs affaires, de se mêler de leur vie, de regarder leurs affaires plutôt que les miennes, mais je suppose que ça les occupe, ils s'ennuient peut-être parfois, après tout j'en sais rien, je ne sais pas ce que c'est de vivre avec un homme et encore moins d'avoir une relation aussi sérieuse que la leur. Parfois j'ai envie de secouer Cicely et de lui dire combien elle est idiote, j'ai envie de lui montrer à côté de quoi elle passe en passant son temps avec Logan ou à penser à Logan, j'ai envie de lui démontrer que l'on peut très bien dépenser notre énergie ailleurs ou beaucoup plus intelligemment qu'en perdant notre temps en amour. Mais après tout, s'ils sont heureux, je n'ai pas le droit de revendiquer ça, sachant que mes parents à moi sont encore et toujours ensemble et sont les plus heureux du monde. Mais je veux dire, le bonheur sentimental n'est pas pour moi et parfois, j'ai tendance à me dire que tous mes proches devraient être pareils, ce qui est assez stupide au fond. Bref, j'étais sortie de mes pensées que j'étais déjà devant la porte de l'appartement de Cicely et Logan. Je sonnai et elle m'ouvrit presque aussitôt, souriante, enjouée, comme à son habitude. "Salut beauté !" Cicely était bien la seule personne au monde, excepté ma famille de temps en temps, avec qui j'essayais d'être aimable et gentille. mais Cicely était différente, c'était une vraie amie, le genre de fille qui ne vous laisse jamais tomber et c'est ça que j'appréciais en elle, je pouvais lui faire confiance. "Alors ça y est t'as enfin lâché Logan ?" Bien sûr elle savait que je plaisantais, même si au fond je le pensais quand même un peu. "Comment vas-tu ?" Dis-je en m'installant. Comme chez moi.