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 Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]

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Callen Valentine

Callen Valentine


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› INSCRIPTION : 25/10/2012
› AVATAR : Jared Padalecki
› CREDITS : a venir
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Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] Empty
MessageSujet: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] EmptyVen 2 Nov - 18:40

    L'étape de la socialisation n'avait en vérité rien d'anodin ; il fallait faire preuve de sang-froid, parvenir à esquisser quelques sourires de temps à autres, et point essentiel, ne pas envoyer balader toutes personnes à tout va.

    Premièrement donc, au-delà de l'aspect de l'éthique de la politesse stupide qui consistait à saluer tous les matins les autres qui constitués de collègue, voisin, ami(e)– si tant est que Callen y parvenait tous les jours – il fallait accepter sans broncher de participer aux événements festifs. Refuser de s'y rendre alors que des tierces personnes vous y avaient invité, vous cataloguait directement en tant qu'ermite solitaire.

    Secondement, accepter les us et coutumes des plus idiots célébrant la fête de leur naissance : ah l'ironie, jours très attendu par de nombreuses personnes. Ce qui impliquait donc cadeaux, être aimable, penser à autrui plutôt qu’à soi, sous peine de subir l'Inquisition des autres camarades. Dans quel pétrin c’était-il fourré en disant oui pour fêter l'anniversaire d'un certain Tyler ? 'Socialisation', avait-il pensé fortement pour ne pas rembarrer ses petits camarades, et finalement revêtir d'un jean troué -non un effet de mode mais bien dû à une chute - et un t-shirt et se rendre au bar pour pouvoir faire la fête. Youpi ... Arrivé à la porte du bar, le jeune homme chercha des yeux quelques connaissances. Chose faite, il avança vers le groupe.

    Troisièmement, le plus ardu : se fondre dans la masse, accepter les conversations superficielles, mais surtout boires les verres qu'on pouvait lui tendre pour que le calvaire prenne fin ou soit dû moins de soulager son calvaire. C'est ainsi que, gorgées après gorgées, le mutisme de Callen s'était mué en un bavardage déjà plus raisonnable, et le sourire du brun s'élargissait de plus en plus. En outre, ce dernier était complètement saoul et avait les sens embrumés. L'alcool avait sur le jeune homme des effets ... apaisants, ou plutôt disons les choses tels quelles sont l’alcool pouvait provoquer chez Callen des situations assez tordus. Les esprits s'échauffaient donc, les langues se déliaient, et l'esprit du jeune homme se libérait peu à peu. Point négatif de ce qu'on pouvait éventuellement prendre pour un semblant de liberté ; il n'était pas certain que le jeune homme complètement saoul ne parvienne à se contrôler. Car déjà, son regard fauve glissait de femme en femme, dissimulés derrière des rires et des sourires soit disant sympathiques. Et c'est ainsi que le froid Hermès devenait de plus en plus charmeur. On aurait dit un fou doublé d’un nymphomane sadique.

    Les esprits s'échauffaient donc, les langues se déliaient, et l'esprit du jeune homme se libérait peu à peu. Mais vous savez ce qu'on dit à propos de l'alcool ? Que ce n'est jamais bon, qu'il faut boire avec modération. Mais Callen, ce type-là, Modération, il ne l’avait jamais croisé. Et dans ce cas-là, on pouvait lui dire malheureusement. Parce que le type qui était monté sur le comptoir et qui danser tel qu’un danseur pro de samba c’était bien Callen. Il avait un talent fou pour onduler à merveille son bassin, rien à dire dessus. La musique de Wake me up before you go-go, il faisait quelques pas de danse et fredonner les paroles avant de faire un style au barman « Alors Steve ! Je veux 4 verres de vodka et une blonde aussi... Ahahah... C'est dingue qu'on appelle une bière, une blonde ! Vous ne trouvez pas ? Nan mais sérieux ça voudrait dire que la blonde là-bas elle est bonne comme une bière ? Je voudrais bien y goûter alors ! »

    Oui l'alcool rapproche. Un peu trop peut-être. Quelques personnes observaient la scène avec un intérêt quasi scientifique, constatant les ravages que pouvait faire tout excès sur la pensée humaine... Pauvres petites choses...
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Trish Valentine
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Trish Valentine


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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] EmptyLun 5 Nov - 22:31



« La vie de famille requiert une force, une persévérance, un oubli de soi dont le bonheur de ses membres est le fruit. »

Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] Tumblr_m49saorcuj1rperja Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] Tumblr_lzszmqRdPQ1qfg9xxo2_250
L’intégration n’a jamais été chose facile et Trish connait exactement cette situation. En effet, bien qu’elle soit née à Austen Valley, elle n’a jamais eut de mal à se faire connaitre des autres habitants, certes, mais le plus dur reste quand on a une nouvelle famille que la sienne. Très vite, on ne parle plus que de vous et vous êtes au cœur de tous les sujets de conservations. Ragots, potins ainsi que rumeurs (toutes plus excentrique que les autres) deviennent votre quotidien. C’est un peu ce qu’à vécue la jeune femme jusqu’à ce qu’elle quitte véritablement la ville. C’est comme si une étiquette était constamment coller sur son front. Celle-ci indiquant : « Mes parents sont morts donc j’ai été adoptée par une famille bien gentille qui a voulut de moi. » Pourtant c’est bel et bien la vérité. Ceci dit, la jeune demoiselle a toujours voulut porter le nom de cette famille qui l’a si gentiment adoptée, c'est-à-dire : Valentine. Une pitié et une compassion éternelles qui fait l’essence de votre vie. Or, Trish n’est pas ce genre de fille à aimer que l’on ait pitié d’elle ; au contraire, elle a l’âme d’une rebelle. D’accord, elle est très attachée à ses parents biologiques mais elle l’est encore plus à ses parents adoptifs. Après la mort de ces derniers, les habitants son encore plus compatissant à la douleur qu’elle ressent : ce qui a bien entendu le don de l’énerver …

Sept ans plus tard à son retour d’Austen Valley, les habitants n’avaient plus l’air de la regarder de la même manière qu’autrefois. Elle n’était plus la jeune qui déambulait dans les rues aux bras de son frère, une bouteille de téquila dans la main. Ou celle qui trafiquait les cartes d’identités afin d’acheter de l’alcool en toute illégalité. Non désormais, elle était une femme ni plus ni moins. Elle avait l’air d’une bourge tout droit sortie d’un film avec ses fringues à plus de d’une centaine de milliers de dollars. Mais surtout celle qui avait osé laisser son frère, seul, en se barrant avec sa meilleure amie, préférant l’amitié à la famille. On pouvait dire ce que l’on voulait sur elle, au final Trish n’en avait strictement rien à faire ! New York était la ville de ses rêves et c’était ainsi que cela plaise ou non.

La jeune femme avait passée la journée à travailler (pour changer) et avait donc accepté l’invitation d’une ancienne amie à elle à venir boire un verre en compagnie d’un groupe de filles. Un verre, voire une bouteille était tout ce dont Trish avait besoin en ce moment, histoire de se changer les idées. La jeune femme avait tirés en arrière et attachés ses longs cheveux blonds afin de former une queue de cheval. Elle était revêtue d’une robe à bustier beige, un foulard Channel ornait son cou et ses escarpins noirs d’une dizaine de centimètres étaient de la même marque. Elle avait optée pour un maquillage léger et d’accessoires dont elle seule avait le secret. La newyorkaise rejoignit donc ses amies au « Tchicky bar », un bar situé en centre ville. Sur place elle commanda une cosmopolitan pour passer le temps et surtout essayer de boire les conversations de ces femmes qui se tenaient devant elle. Trish avait l’air d’une étrangère, elle n’arrivait pas à mettre un visage sur les noms qu’elles étaient en train de critiquer. Mais cette conversation allait très vite être mise à terme. En effet, non loin d’elle se tenait un groupe de garçon prêt à faire la fête. Son regard se détourna cependant vers un homme brun d’environ son âge qui avait certainement trop bu puisqu’il venait de monter sur le bar ou il faisait rire toute la salle (bien que certaine personne soit choquer par la scène qui se prêtait devant eux). « Alors Steve ! Je veux 4 verres de vodka et une blonde aussi... Ahahah... C'est dingue qu'on appelle une bière, une blonde ! Vous ne trouvez pas ? Nan mais sérieux ça voudrait dire que la blonde là-bas elle est bonne comme une bière ? Je voudrais bien y goûter alors ! » C’était à elle qui s’adressait ouvertement ? Mais cette voix, elle lui était tant familière … Il ne fallut pas moins de dix secondes à Trish afin de comprendre que cet énergumène qui faisait le clown, n’était autre que son frère. Quelle honte … « Excusez-moi. » Dit-elle à ses amies en les quittant afin de rejoindre Callen. La demoiselle alla à sa rencontre, tirant sur son jeans afin qu’il la voit : « Callen Valentine descends de la tout de suite ! La blonde qui se tient devant toi et peut être bonne comme une bière, mais c’est avant tout ta sœur ! » Elle le fixa longuement puis éclata de rire à sa vue. Il avait trop bu c’était sur. « Je te quitte tu étais bourrés, je reviens tu l’es toujours … Rien n’a changé. » « Laisse le s’amuser et vient plutôt avec nous. » Trish tourna la tête vers la personne qui voulait certainement échanger quelques mots avec elle. Ce dernier mettant sa main sur la taille de la demoiselle. « Ne me touche pas … Je t’aurais prévenue. » Suite à ses mots, Trish lui colla son poing dans la figure. « Salope. » Avant même qu’elle n’ait eut le temps de rajouter autre chose, ni même de lui en coller une autre : Trish se sentit décoller du sol. Callen venait de la soulever avant qu’elle ne fasse encore plus de dégât. Oui soulever du sol, comme voler. Bah quoi ? Callen est un géant c’est bien connu … Entre frère et sœur, cela risque d’être des retrouvailles plus qu’explosif.
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